"Souvenirs d'errance
Une BD
Miriam Katin aura attendu plus de soixante ans pour raconter comment, toute jeune enfant, elle fut amenée à fuir Budapest en compagnie de sa mère pour échapper aux persécutions nazies. Miriam n'a que trois ans en 1944. Elle vit seule avec sa mère. Son père a été enrôlé de force dans l'armée hongroise qui combat sur le front de l'Est aux côtés des troupes allemandes. En Hongrie comme ailleurs, les Juifs sont pourchassés. Dénoncées par un voisin qui « ne fait qu'obéir aux ordres », mais cache à peine qu'il convoite leurs biens, la fillette et sa mère seront contraintes à la clandestinité. Commence alors une longue errance au milieu du chaos de la fin de la guerre."
La suite sur Les Echos
"En se souvenant des jours heureux
Miriam Katin - De la Hongrie occupée par les nazis à l'invasion communiste, les souvenirs de guerre d'une survivante réfugiée aux États-Unis.
Il est presque aussi difficile d'imaginer son propre grand-père en barboteuse que Miriam Katin à 66 ans. C'est pourtant son âge, même si on gardera d'elle l'image d'une petite fille, robe bouffante et nœuds dans les cheveux. Après une carrière de dessinatrice pour les studios MTV et Disney, elle a rassemblé ses souvenirs de guerre, peut-être ses premiers, dans un émouvant roman graphique. En noir et blanc, elle dessine ses impressions d'enfance, Budapest, sa mère élégante bourgeoise ou fugitive aux traits tirés , les belles voitures et les belles maîtresses des nazis, les chars russes. De-ci de-là, quelques taches de couleur éclairent le récit, lorsque l'auteur évoque les États-Unis (où elle vit toujours), un automne roux, un hiver bleu, une bible arc-en-ciel."
La suite sur le Figaro.fr
Seules contre tous », de Miriam Katin, Seuil, 136 pages, 21 euros
Une BD
Miriam Katin aura attendu plus de soixante ans pour raconter comment, toute jeune enfant, elle fut amenée à fuir Budapest en compagnie de sa mère pour échapper aux persécutions nazies. Miriam n'a que trois ans en 1944. Elle vit seule avec sa mère. Son père a été enrôlé de force dans l'armée hongroise qui combat sur le front de l'Est aux côtés des troupes allemandes. En Hongrie comme ailleurs, les Juifs sont pourchassés. Dénoncées par un voisin qui « ne fait qu'obéir aux ordres », mais cache à peine qu'il convoite leurs biens, la fillette et sa mère seront contraintes à la clandestinité. Commence alors une longue errance au milieu du chaos de la fin de la guerre."
La suite sur Les Echos
"En se souvenant des jours heureux
Miriam Katin - De la Hongrie occupée par les nazis à l'invasion communiste, les souvenirs de guerre d'une survivante réfugiée aux États-Unis.
Il est presque aussi difficile d'imaginer son propre grand-père en barboteuse que Miriam Katin à 66 ans. C'est pourtant son âge, même si on gardera d'elle l'image d'une petite fille, robe bouffante et nœuds dans les cheveux. Après une carrière de dessinatrice pour les studios MTV et Disney, elle a rassemblé ses souvenirs de guerre, peut-être ses premiers, dans un émouvant roman graphique. En noir et blanc, elle dessine ses impressions d'enfance, Budapest, sa mère élégante bourgeoise ou fugitive aux traits tirés , les belles voitures et les belles maîtresses des nazis, les chars russes. De-ci de-là, quelques taches de couleur éclairent le récit, lorsque l'auteur évoque les États-Unis (où elle vit toujours), un automne roux, un hiver bleu, une bible arc-en-ciel."
La suite sur le Figaro.fr
Seules contre tous », de Miriam Katin, Seuil, 136 pages, 21 euros
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