"La loi limite l'accès à la propriété des terres arables hongroises aux étrangers pour encore quelques mois. Celle-ci sera-t-elle reconduite en mars prochain? Tout porte à le croire. Plus que tout autre type de bien, les biens immobiliers sont souvent considérés comme une composante essentielle du “caractère national”. Ainsi, alors même qu’une amitié sincère unit aujourd’hui la France et l’Allemagne, un jeune berlinois qui voudrait retaper un vieux presbytère dans la région d’Oradour-sur-Glane pourrait se voir mal accueilli, c’est ce que l’on appelle “le poids de l’Histoire”. Personne ne reproche aux Anglais de revenir dans le bordelais mais, on ne peut s’empêcher de remarquer que, finalement, la guerre de Cent ans n’est pas si loin... Ce sentiment est particulièrement fort chez nos amis hongrois, comme chacun a pu le remarquer." La suite sur le Journal francophone de Budapest
samedi 30 octobre 2010
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