mercredi 28 août 2013

De la racine au ciel, Alexandre Hollan saisit les arbres dans leur érection continue

"Peintre secret, peintre de la respiration des arbres et de la traversée des apparences, Alexandre Hollan est né à Budapest en 1933. Une centaine de ses œuvres sont réunies au château de Chambord, sous les voûtes à caissons du donjon.
Depuis plus d'un demi-siècle, Hollan décline deux motifs. Deux motifs contemplés, vus, transmis : les arbres et les "vies silencieuses" – les still lifes que l'on nomme en français "natures mortes". "La beauté d'un chêne noir, vibrant, existe, préexiste en moi", note-t-il dans ses carnets (Je suis ce que je vois, Le temps qu'il fait, 1997). La nature ? Vive ou silencieuse en ses matins triomphants, elle "aime, dit Hollan, être regardée. Le regard lui manque". Le trait ? "Le trait transforme la vie venant du monde visible en une sensation." La suite sur lemonde.fr

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