dimanche 28 février 2010
Le collectif “La journée sans immigrés : 24 heures sans nous” Appel à une grève le 1er mars en France
...le collectif a même été jusqu’à envoyer une lettre au président Sarkozy, qui en tant que fils d’immigrés hongrois, est invité “à ne pas travailler et ne pas consommer ce jour-là”." Extraits d'un article paru dans liberte-algerie.com
samedi 27 février 2010
Hongrie: l'Etat renationalise la compagnie aérienne Malév
La crise ? Profitons-en...
Parmi eux figure le fonds de l'américano-hongrois George Soros, surnommé "l'homme qui a fait sauter la banque d'Angleterre" après avoir, en 1992, spéculé à la baisse sur la livre sterling, provoquant l'exclusion de la monnaie britannique du Système monétaire européen (SME). A ses côtés, David Einhorn, président du fonds Greenlight Capital. Ce quadragénaire au visage d'ange s'était fait remarquer en France en 2008 en tant qu'actionnaire remuant de la banque en difficultés Natixis.
Pour eux, "il y a beaucoup d'argent à se faire ", rapporte le Wall Street journal." La suite de l'article sur lemonde.frSelon Le Figaro "La demande mondiale continuera de soutenir l'or".
"L'ombre des hedge funds pèse.
Alors forcément une telle tendance attire tout type d’investisseurs. Y compris ceux qui dédaignaient l’or jusque-là. Alors qu’ils considéraient le métal jaune comme une «relique barbare», selon l’expression chère à l’économiste anglais, John Maynard Keynes, les hedge funds ont intégré le marché. Le retour en force de ces investisseurs, connus pour leurs prises de position spéculatives à court terme, auraient de quoi inquiéter. Ainsi, John Paulson a sorti 250 millions de dollars pour s’en offrir. Le milliardaire américano-hongrois George Soros a doublé ses réserves au cours du dernier trimestre 2009. C’est ce même George Soros qui aurait déclaré, en janvier dernier, qu’il se formait sur le marché de l’or « la plus belle des bulles »." Extrait d'un article de lefigaro.fr
A noter que pendant que les fonds publics servent par centaines de milliards à soutenir les banques et fonds spéculatifs, certains, dans tous les pays européens (France, Hongrie, Espagne, Grèce, Portugal, ...) s'aperçoivent fort opportunément que les déficits publics enflent et nous assènent des argumentaires fallacieux du style : "il faut réformer les retraites, rallonger les durées de cotisation", "démographie", "espérance de vie en hausse", "réformer la sécurité sociale" et "fermer les hôpitaux" "dépenses de santé en hausse" "trop de fonctionnaires", faut-il poursuivre la ritournelle ?
Tony Gatlif : la voix des Roms
vendredi 26 février 2010
Hongrie/ déficit: pessimisme de la MNB
mercredi 24 février 2010
Alain Dodeler - Photographe

Un jour on m'a invité en Hongrie, drôle d'idée, non ?
finalement j'y suis allé , et n'en suis jamais trop reparti.
Les hasards de la vie, des amours, des rencontres , m'en auront fait voir de toutes les couleurs.
D'une association d'artiste dans les débuts, à la caravane production du Sziget festival aujourd'hui, en traversant les changements que ce pays à connu de 1986 à aujourd'hui.
Alain Dodeler
Alain est l'un de ceux qui en 2003 ont fondé les Mardis hongrois de Paris.
A ce titre de gloire, nous pouvons en ajouter trois autres et non des moindres, Alain est photographe, il est amoureux de la Hongrie et il fut l'un des premiers sinon le premier photographe officiel du festival Sziget, dès 1994.
Il vient de créer son site www.alain-dodeler.fr qui permet de se faire une idée de son travail.
Imre Bak, Andras Baranyay - Iparterv du 15 avril au 10 juillet 2010 à l'Institut hongrois de Paris

Vernissage le 15 avril 2010
Paris 6e. Institut hongrois de Paris
L'exposition «Iparterv» témoigne de l'effervescence de onze jeunes artistes hongrois d'avant-garde dans les années 50. Elle est aussi la preuve de l'existence d'une volonté de liberté, malheureusement condamnée dès sa naissance et étouffée par le régime totalitaire.
Communiqué de presse
Andras Baranyay, Endre Tot, György Jovanovics, Gyula Konkoly, Ilona Keserü, Imre Bak, Istvan Nadler, Krisztian Frey, Laszlo Lakner, Ludmil Siskov, Miklos Erdely, Tamas Hencze, Tamas Szent Joby
Iparterv
D'avril à juillet 2010 la Galerie Vasarely de l'Institut hongrois de Paris présente «Iparterv», une exposition; mais aussi un témoignage d'une époque. La preuve de l'existence d'une volonté de liberté, malheureusement condamnée dès sa naissance et étouffée par le régime totalitaire.
Le nom «Iparterv» désigne la troisième génération des artistes avant-garde en Hongrie. Il a été donné au groupe d'après celui d'une société de construction de
Budapest, où l'exposition a eu lieu. Après les années 50, caractérisées par une fermeture totale du pays, onze jeunes artistes cherchaient à rejoindre les courants avant-garde internationaux les plus importants de l'époque. Ils s'inspiraient de diverses tendances: de l'expressionnisme abstrait, du surnaturalisme, ou encore du pop-art ; et du groupe hongrois Ecole européenne. Pour l'exposition «Iparterv II», organisée le 24 octobre 1969, quatre nouveaux membres ont adhéré au groupe.
L'exposition organisée à l'Institut hongrois de Paris n'est pas une reproduction de celle de 68-69, mais une sélection des oeuvres des artistes qui faisaient partie du groupe. Le catalogue de l'exposition «Iparterv», sous la direction de Csaba Varga, est édité aux Editions de l'Institut hongrois de Paris." La suite de l'article sur paris-art.com
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
76 infractions notées
"Le camion est toujours en rade en Gironde. Les gendarmes attendent le paiement par le transporteur hongrois d'une consignation de plus de 57 000 euros. Samedi matin, les militaires du peloton d'autoroute de Mios ont procédé au contrôle d'un poids lourd sur l'A 63.
Le camion transportait des batteries usagées. Un chargement considéré comme des matières dangereuses. Le chauffeur, un Hongrois de 51 ans, avait chargé en Grande-Bretagne et se rendait en Espagne." La suite de l'article sur sudouest.com
Festival culturel "Interférences hongroises" à Bordeaux du 22 au 27 mars 2010
Bordeaux, Halle des Chartrons, 22-27 mars 2010
Lundi 22 mars
EXPOSITION
19 h - Ouverture du 3ème Festival Interférences Hongroises et vernissage de l'exposition sur la Ville de Pécs, en présence de M. Aymar de Baillenx, Consul honoraire de la Hongrie
SPECTACLE
20 h - "Lune tzigane": Lecture théâtralisée des poèmes de Károly Bari et al. (mise en scène par Marie-Laure Piroth)
Mardi 23 mars
DOCUMENTAIRE
20 h - "C'est secret, ces choses-là...": projection du documentaire de Krisztina Ágói , suivi d'une discussion en présence de la réalisatrice (VO, sous-titré français)20 h - "Camembert rose": projection de la comédie de Barnabás Tóth (2009, VO sous-titré français)
Mercredi 24 mars
CINEMA
20 h - "Camembert rose": projection de la comédie de Barnabás Tóth (2009, VO sous-titré français)
Jeudi 25 mars
LITTERATURE
20 h - "Le traducteur cleptomane": soirée littéraire à l'occasion du 125ème anniversaire de la naissance de l'écrivain et poète Dezsö Kosztolányi, par la Troupe EnchanThéâtre (Bordeaux)
Vendredi 26 mars
CONFERENCE
14 h - "SudOuest's": colloque international sur vin, oenotourisme et patrimoine culturel avec la participation des spécialistes bordelais et pécsois, suivi d'une dégustation
Samedi 27 mars
ANIMATION
11 h - Peinture de tonneaux pour le grand public: animation des étudiants en arts plastiques de l'Université Michel de Montaigne Bordeaux 3
DANSE
20 h - "EgoMAToes": spectacle de danse contemporaine, par Zéró Balett (Budapest) et la compagnie Sursauts (Bordeaux). Soirée de clôtur
www.interferences-hongroises.orglundi 22 février 2010
PSEUDO : Spectacle musical de et avec Zsuzsanna Pajor à Nanterre les 6 et 7 mars 2010

Calendrier des Evénements de Budapest 2010
Fête des métiers 2010
Festival juif d'été 2010
Exposition d'affiches ARC 2010
Szeptemberfeszt 2010
Semi-marathon de Budapest 2010
Festival international du vin et du vin mousseux de Budapest 2010
MOL Budapest jazz festival 2010
Journée du Patrimoine Culturel 2010
Klimt et les débuts de l'Art nouveau à Vienne (1895-1905) 2010
Marathon de Budapest 2010
Festival du pálinka et du saucisson de Budapest 2010
Festival d'Automne de Budapest - 2010
Budapest Art Fair - 2010
Marché de Noël de Budapest - 2010
Concert de fête de l'Orchestre des 100 Violons Tziganes - 2010
Gala du Nouvel An à l'Opéra - 2010
Autant de festivités à découvrir sur le site budapestinfo.hu
Effet boule de neige
L’affaire BKV ne cesse de prendre de l’ampleur. A l’heure actuelle, le nombre de suspect s’élève à 12, dont 6 ont été mis en détention provisoire. L’enquête, menée depuis avril 2009, porte sur plus de 800 indemnités de licenciements suspectes, 70 contrats de services de communication et de consultation jugés inutiles et s’étend aux affaires de corruption de quelques dirigeants de BKV.
Le dossier de BKV occupe une place de plus en plus importante sur le bureau des enquêteurs. Cette affaire, dont on ne semble percevoir pour l’instant qu’une infime partie, s’avère en effet bien plus vaste qu’aux débuts de l’enquête puisqu’elle implique désormais à la fois des anciens employés et dirigeants de BKV, mais aussi des hommes politiques." La suite de l'article sur le Journal francophone de Budapest
Une méthode pour aider à l'autonomie de jeunes handicapés - Saint-Jean-Brévelay
"La première session d'éducation conductive dans le Morbihan, organisée par l'Afpec (Association française pour l'éducation conductive), s'est déroulée du 15 au 19 février. Elle réunissait plusieurs enfants atteints d'IMC (infirmité motrice cérébrale), handicap moteur, autour de Dora Zsolnay, conductrice.
C'est le nom que l'on donne à sa fonction, car sa formation pluridisciplinaire (kiné, orthophoniste, ergothérapeute) lui permet de prendre l'enfant en charge dans sa globalité. Son objectif est de conduire l'enfant dans son éducation au quotidien (jeux, alimentation, mouvements, apprentissages scolaires). Tout au long de la journée, l'enfant apprend à connaître ses propres mécanismes d'apprentissage et, par des programmes structurés, il est amené à les reproduire par lui-même.
Le rôle des parents est primordial. A chaque session, la conductrice conseille les parents sur la marche à suivre afin de continuer les exercices à la maison. Cette méthode a été mise au point par Andras Petö, neuro pédiatre hongrois, pour les enfants atteints d'IMC." La suite de l'article sur ouest-france.fr
dimanche 21 février 2010
L'odeur humaine de Ernő Szép

Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie en librairie de l'œuvre majeure d'Ernő Szép, l'Odeur Humaine, traduite pour la première fois en Français aux éditions Cambourakis. Auteur hongrois incontournable du XXe siècle, Szép livre dans cet ouvrage publié en 1945, un des témoignages les plus importants sur la question juive en Hongrie pendant la seconde guerre mondiale. C'est à ce jour la seule œuvre de Szép disponible en Français.
L’odeur humaine
L’Odeur humaine est le dernier roman d’Ernő Szép : publié en 1945, peu après la libération du pays de l’occupation allemande et du régime du parti fasciste hongrois, les Croix fléchées de Ferenc Szálasi, ce roman autobiographique relate quelques mois de la vie d’un écrivain juif en 1944 à Budapest.
Le récit porte sur une période assez brève, entre deux dates historiques décisives, puisque les faits s’inscrivent entre le 19 mars 1944 – la prise de possession du sol hongrois par les forces du Reich – et le 10 novembre de la même année – début des marches forcées qui marquent la dernière étape de l’holocauste des juifs hongrois –.
Quasiment linéaire dans sa narration, écrit à la manière d’un journal, le roman est caractérisé par un ton étrangement posé, dénué de tout pathos, teinté d’humour – parfois cruel – et d’une sorte de nostalgie omniprésente. Cette chronique minutieuse est émaillée d’une foule de détails qui, malgré leur apparente banalité, prennent une importance démesurée, face à la proximité extrême de l’anéantissement des êtres humains.
La première partie du roman relate la vie quotidienne d’une « maison étoilée » (non donné aux immeubles où les juifs de Budapest étaient confinés). Avec autant de tendresse que d’ironie, Szép se souvient de ces journées de semi-enfermement, où l’ennui, la peur et les privations jouent comme des révélateurs de la grandeur ou de la mesquinerie de chacun. La seconde partie commence le 20 octobre, jour où les hommes de l’immeuble vont être déportés dans un camp de travail non loin de Budapest, afin d’y creuser les tranchées destinées à défendre la ville de l’approche des troupes russes. De brefs épisodes se succèdent, décrits avec une objectivité presque journalistique, montrant la cruauté dramatique des traitements infligés aux détenus. Le narrateur est autorisé à rejoindre sa famille le 9 novembre : le livre s’achève, alors que le pire, la phase finale de l’extermination des juifs de Budapest, va débuter. Consciemment, Ernő Szép choisit de faire cesser son récit au seuil de l’indicible.
Ernő Szép
Ernő Szép est né en 1884 à Huszt, à l’est de l’empire Austro-Hongrois, au sein d’une famille juive modeste. Après avoir achevé ses études secondaires, il s’installe à Budapest. Journaliste, il se produit aussi sur les scènes des cabarets, interprétant ses propres textes et chansons. Poète, romancier, dramaturge, il devient rapidement un auteur très populaire, dont les œuvres – une trentaine de volumes – sont connues de toutes les couches de la société. Il gagne également l’estime des cercles littéraires : collaborateur de la revue Nyugat à partir de 1912, il est l’ami de Endre Ady, de Ferenc Molnár.
Auteur urbain, poète de la ville, il a habité 33 ans durant sur l’Île Marguerite, au cœur de Budapest. Sous le coup des lois anti-juives, dont la rigueur s’accroît dramatiquement entre 1935 et 1944, il doit quitter son appartement pour venir vivre dans le ghetto de Budapest. Il a miraculeusement survécu à l’extermination des juifs de Hongrie, contrairement à ses deux frères, assassinés, et à sa sœur, « disparue ».
Après la prise de pouvoir des communistes en 1948, il cessera pratiquement de publier, et se retire de la vie publique et littéraire. À la fin des années 70, son œuvre sera redécouverte grâce à l’action du grand poète et écrivain Dezsö Tandori, qui considère Szép comme l’un des plus grands maîtres de la littérature hongroise du XXè siècle.
L’odeur humaineRoman / Collection Irodalom
Éditions Cambourakis
Traduit du hongrois par Marc Martin
140x205 mm / 192 pages
Prix : 20 euros
Café de la danse - Compagnie Pál Frenák samedi 27 février 2010 à 20 h 30 Institut hongrois

InTimE - en intime
Pál Frenák nous a longtemps transporté dans un Univers violent et tendre à la fois, à la gestuelle raffinée, saisissant inexorablement la personnalité de ses interprètes pour donner une dimension théâtrale à ses créations. Le public est parfois cinglé, souvent confronté à la pensée de ses propres fantasmes et toujours attendri et retourné de la proposition de Pál Frenák. La création 2007 Instinct, nous a montré comment le chorégraphe s’est finement orienté vers une danse encore plus étudiée et non moins intense, dans un mouvement toujours plus recherché et non démonstratif.
La création 2008 en sera le deuxième volet. Sa dimension picturale, parfois associée à F. Bacon pour ses corps aux expressions déchirées ou à D. Lynch pour son mouvement photographique, sera, tout comme à l’habitude de Pál Frenák, jetée sur le plateau comme l’aurait fait E. Pollock, avec un aléatoire recherché.
L’espace scénique sera habité par un canapé, souvent l’objet de huis clos, où se rencontreront et évolueront les danseurs. La structure chorégraphique sera alors ponctuée par une juxtaposition de duos qui, au fil de la proposition réuniront les interprètes.
La chorégraphie sera adaptée à la scène de l'Institut hongrois, assurant ainsi une ambiance encore plus fine, une "InTimE en intime".
Entrée 7/10€
samedi 20 février 2010
En Hongrie, la droite attise le sentiment nationaliste
On a bien érigé, dans un ancien village minier de la région - comme dans bien d'autres endroits du pays depuis la chute du Mur -, un monument qui rappelle le traumatisme du traité de Trianon, en 1920, par lequel la Hongrie, grande perdante de la première guerre mondiale, a été amputée des deux tiers de son territoire au profit de ses voisins. "Vous avez pris nos fleuves et nos montagnes !", s'écriait une affiche nationaliste largement diffusée à l'époque." La suite de l'article sur lemonde.fr du 19 février 2010
Les Sabbataires de Transylvanie de Bernard Le Calloc’h
Au début du XVIIe siècle, cette nouvelle croyance connut un grand succès en milieu hongrois. Mais elle se heurta à l’ hostilité de toutes les Églises chrétiennes puis à la persécution systématique des princes de Transylvanie. Menacée de disparition, elle se réfugia dans la clandestinité, et parvint à se maintenir en des coins retirés de la Transylvanie jusqu'au Compromis austro-hongrois de 1867. Du fait de la promulgation de la loi hongroise sur la liberté de conscience, elle connut un éphémère regain, mais les persécutions antisémites de la Seconde Guerre mondiale eurent raison des derniers irréductibles.
Collection "Peuples en péril"
Ouvrage broché, format 12,5 x 19 cm, 184 pages + VIII pages d’illustrations couleurs hors textes, cartes, illustrations N & B, bibliographie.
ISBN : 978-2-910878-41-4
Prix Public : 12 €
Bernard LE CALLOC’H, diplômé de l’INALCO, professeur honoraire d’histoire au lycée français de Budapest, ancien secrétaire de la Légation de France, est l’un des meilleurs connaisseurs des peuples finno-ougriens. Il s’est vu décerner par le gouvernement hongrois, la Croix d’or de l’Ordre du Mérite pour l’ensemble de son œuvre.
Éditions ARMELINE
Tal-ar-Groas
Route de l’Aber
29160 CROZON
Courriel : armeline.editions@wanadoo.fr
Source : eurominority.eu
A propos des Sabbataires on pourra lire aussi "Des Sabbataires à Barbe-bleue" de Lajos Nyéki
"Comment définir la conscience hongroise ? Telle est l'interrogation qui court tout au long des études de Lajos Nyéki rassemblées ici. A la fois nationale et européenne, elle se caractérise par une tendance à l'identification avec des peuples opprimés et ballottés par l'histoire, tel le peuple juif, et par un sentiment de manque par rapport à d'autres peuples considérés comme plus heureux. L'admiration pour la culture et la pensée de l'Europe occidentale se conjugue avec une volonté constante de sauvegarde de l'identité hongroise. Au XXème siècle s'affirme un internationalisme allié à un sentiment d'appartenance à une communauté "danubienne" ou "carpatique".
L'expression de cette conscience hongroise, étouffée durant les années noires, retrouve toute sa force en 1956 lors de la grande révolution anti-totalitaire. En dépit ou à cause des épreuves traversées, les maîtres mots demeurent : ouverture, tolérance, amour de la liberté et humour.
Allant des sabbataires, au XXème siècle, jusqu'à des auteurs contemporains tels que François Fejtő et mettant en évidence aussi bien le rôle capital d'une revue comme Nyugat ou d'un musicien comme Bartok que l'apport original d'un Madach, d'un Ady, d'un Kosztolanyi ou d'un Kassak, Lajos Niéky nous fait découvrir à travers des œuvres très diverses par leur style et leur inspiration une richesse philosophique et littéraire encore mal connue en France." Source inalco.fr
Échecs : Classement Elo
"C'est à un Hongrois que l'on doit le système de classement des joueurs d'échecs. Un peu comme les points ATP au tennis, en fonction des performances, on acquiert des points ELO. Des super-totaux Elo, il va y en avoir quelques-uns du 22 au 27 février, espace Marcel-Pagnol à Villeneuve-Tolosane où se tiendra le 5e Open international d'échecs de l'Ouest toulousain." La suite de l'article sur ladepeche.fr
"Le classement Elo est un système d'évaluation du niveau de capacités relatif d'un joueur d'échecs ou de jeu de go, ou d'autres jeux à deux joueurs. Plus généralement, il peut servir à comparer deux joueurs d'une partie, et est utilisé par de nombreux jeux en ligne.
Elo se trouve parfois écrit par erreur en haut de casse ELO. Or, il ne s'agit pas d'un acronyme. Il doit son nom à Arpad Elo (1903-1992), un professeur de physique et excellent joueur d'échecs américain d'origine hongroise qui l'a mis au point.
Historique
La Fédération du Jeu d'Echecs des USA (USCF), a utilisé le système d'Arpad Elo dès 1960. Il fut ensuite adopté par la Fédération Internationale des Echecs, la FIDE en 1970. Arpad Elo a décrit son travail dans les détails dans son livre "The Rating of Chessplayers, Past and Present" publié en 1978.
Arpad Elo avait étudié la force des joueurs en se basant sur leurs résultats, et en avait déduit que leur force pouvait se mesurer par un classement en points distribué selon une loi normale de répartition.
Des tests statistiques ultérieurs ont montré que la force échiquéenne n'est pas tout à fait distribuée selon une loi normale. Aussi, l'USCF et la FIDE ont fait évoluer la formule de calcul vers une loi logistique. Cependant par respect pour la contribution du professeur Elo, le nom du classement international continue d'être appelé le "classement Elo".
La suite et la théorie mathématique sur wikipedia.org
Pál Frenák : Hymne à l'amour
« In Time », du 24 au 26 février, Centre national de la Danse, à Pantin ; 01-41-83-98-98." Source nouvelobs.com
Pourquoi aller à Pécs en 2010 ?
Pour découvrir la Transdanubie du Sud.... une région pas très connue, il faut bien le reconnaître.
Pour déguster les vins des vignobles alentours... Nichée au creux du Mont Mecsek et ainsi protégée des vents du Nord, son climat si particulier favorise la culture de la vigne et la production de vins réputés. C’est dans les caves de Pécs, à 5 niveaux en dessous du centre-ville, que s’affinent les vins pétillants de la région." La suite sur youvox.fr
jeudi 18 février 2010
A quelle sauce la Hongrie sera t-elle mangée?
Voir également le Blog des mardis hongrois
Commentaire : FMI, OCDE, UE, BCE, autant de sigles qui défendent une certaine vision du monde qu'il est difficile de partager (euphémisme). Les élections législatives approchent et les résultats en seront fortement influencés.
mercredi 17 février 2010
Hogyan lehet es mikor szavazni Parizsbol a magyar orszaggyülesi kepviselöket illetöen ?
A konzulatuson atvehetö egy kerdöiv, melyet kitölt az illetö es marcius 19-ig a kerületi jegyzönek lead ( olyan szemelyek szavazhatnak ilyen modon, akik
rendelkeznek magyarorszagi lakcimmel) majd maga a valasztas Parizsban aprilis 4-en lesz, egyebkent a www.valasztas.hu honlapon bövebb tajekoztato talalhato
mardi 16 février 2010
Remise du prix Hungarica à l'Institut hongrois de Paris le mardi 9 mars 2010 à 19 h
François NICOULLAUD, ancien ambassadeur de France en Hongrie,
Président de l’Association des Amis de l’Institut Hongrois de Paris
serait heureux de vous accueillir pour :
la remise du Prix Hungarica 2009
- à Grégoire Tosser pour sa thèse de doctorat en musicologie, intitulée « Contribution à
l’esthétique musicale de la mort et de l’incomplétude : exemple de György Kurtag »
soutenue à l’Université de Rennes 2, et
- à Filip Kostelka pour son mémoire de master 2 soutenu en sociologie politique à
l’IEP de Paris sur « Les dynamiques de la participation électorale dans les démocraties
postcommunistes ».
le mardi 9 mars 2010 à 19 heures
à l’Institut Hongrois de Paris, 92 rue Bonaparte, 75006 Paris
La cérémonie se terminera par quelques morceaux de la musique de Kurtag choisis par
Grégoire Tosser.
Vin d’honneur
En vous remerciant de bien vouloir confirmer votre venue à l’adresse suivante :
prixhungarica@orange.fr
PRIX HUNGARICA 2009
L’Association des Amis de l’Institut Hongrois a créé le Prix Hungarica en 2004.
D’un montant de 3000 Euros, il est destiné à récompenser chaque année le meilleur travail, publié ou non, à caractère scientifique, sur la Hongrie contemporaine.
92, rue Bonaparte
75006 Paris
Conditions pour le Prix 2009 : avoir soutenu, en langue française, un travail de recherche en sciences sociales et humaines sur la Hongrie contemporaine et son environnement européen, pour l’obtention d’un diplôme de doctorat – ou de Master 2 – attribué depuis 2005. Au cas où le Prix serait conjointement décerné à une thèse de doctorat et à un travail de Master 2, le Prix sera de €3000 pour la première et €1000 pour le second.
Le Comité d’Honneur est présidé par l’ambassadeur François Nicoullaud, Président des Amis de l’Institut Hongrois de Paris. En font partie Lászlo Nikicser, Ambassadeur de Hongrie en France, Monsieur Péter Eötvös, compositeur et chef d'orchestre hongrois, Jacques Rupnik, Directeur de recherche au CERI et Alexandre de Takácsy, banquier.
Le Comité de Sélection comprend douze membres, professeurs d’université et journalistes spécialisés dans les affaires européennes.
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/


Festival Tzigane - Goulash system le 6 mars 2010 à la Bellevilloise
Le 06 mars 2010 à 21h00.
La Bellevilloise
19/21, rue Boyer 75020 - Paris
Tél. : 01 46 36 07 07
site : http://www.labellevilloise.com
lundi 15 février 2010
"Le chercheur de traces" cycle de lectures par Bernard Bloch - Institut hongrois de Paris 16 février 2010
Institut hongrois de Paris
D’après la nouvelle éponyme de Imre Kertész
Traduction : Charles Zaremba et Nathalie Zaremba-Huzvaï
Adaptation : Bernard Bloch
Un homme revient, vingt ans après, sur les lieux où se sont déroulés d’indicibles crimes. Toute trace a disparu et il ne retrouve rien des sensations qu’il y avait vécues : les choses ne rendent pas de compte…
La civilisation occidentale fondée sur les Dix Commandements et la Tragédie grecque, s’est construite sur une éthique qui a connu son apogée à l’époque des Lumières. La Shoah et ses divers avatars ont causé à cette civilisation des blessures irréparables. Le texte d’Imre Kertész (Prix Nobel de littérature 2002), ici adapté pour le théâtre, n’est pas un témoignage de plus sur la Shoah. Il s’agit, grâce à la littérature, de donner un sens à la survie : celle de l’espèce humaine comme celle des individus. Pour Imre Kertész, être sans destin déporté à Auschwitz à l’âge de 14 ans, puis écrivain de l’ombre dans la Hongrie stalinienne, il s’agissait de passer du statut de survivant à celui de témoin, puis à celui d’écrivain, donc de sujet. Selon lui, l’art seul, peut nous permettre, en réinventant une nouvelle mythologie, de reconstruire un destin pour l’humanité. Un destin qui se fonde sur la prise à bras le corps de ce qui s’est réellement passé, sans se vautrer dans une sidération/fascination compassionnelle et stérile. Imre Kertész ouvre la voie au soulèvement.
Bernard Bloch, janvier 2010
« …Raconter bien, ça veut dire : raconter de façon à être entendus. Et l’on n’y parviendra pas sans un peu d’artifice. Suffisamment d’artifice pour que ça devienne de l’art. La vérité que nous avons à dire – si tant est que nous en ayons envie, et je sais que nombre d’entre nous ne l’auront jamais – cette vérité-là n’est pas aisément crédible…Elle est même inimaginable…Alors, comment raconter une vérité si peu crédible, comment susciter l’imagination de l’inimaginable, si ce n’est en élaborant, en travaillant la réalité, en la mettant en perspective? Avec un peu d’artifice, donc ! …L’autre compréhension, la vérité essentielle de notre expérience n’est pas transmissible. Ou plutôt, elle ne l’est que par l’écriture littéraire, le roman, la fiction… Par l’artifice, donc. L’artifice de l’œuvre d’art…»
Jorge Semprun, L’écriture ou la vie, Gallimard, décembre 1994
Entrée libre
réservation conseillée
01 43 26 06 44 ou reseau.diffusion@orange.fr
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
L'Europe de l'Est peine à intégrer les Roms
Je ne sais pas parler hongrois, c’est dommage
Avis aux 212 salariés désespérés de l’usine Philips de Dreux qui viennent d’apprendre ce weekend la fermeture de leur site de production : Des opportunités de reclassement existent au sein du groupe ! Dans une usine en Hongrie… pour 450 euros par mois…" La suite de l'article sur hu-lala.org
dimanche 14 février 2010
Atlas crocodiles en concert au Studio de l'Ermitage vendredi 19 février 2010
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les atlas crocodiles seront en concert le vendredi 19 fevrier
au studio de l'ermitage
avec
boris boublil - orgues, synthés, piano, guitare et voix
csaba palotaï - guitares et voix
jeff hallam - basse et voix
marion grandjean - batterie et voix
+ invité surprise: w.a.
Ils chantent des mélodies orphelines du rock and roll et de l'amour. C'est un orgue de barbarie, un film sans image.
rdv à 21h, 8 rue de l'ermitage dans le XXe.
Miklós Radnóti (1909-1944) : Ode à peine (Tétova óda)
Ode à peine
Depuis quand je me prépare pour te révéler
la galaxie secrète de mon amour
je cherche une seule image, l’unique, l’essentielle.
Tantôt bruissante, déferlante en moi, tu es comme l’existence
tantôt immobile et éternelle
tel un fossile dans la pierre, pétrifié.
L’opacité soyeuse de la lune frémit au-dessus de ma tête
la nuit reste à l’affût de rêves minuscules qui s’échappent.
Et je ne peux toujours pas te dire
cette sensation en moi provoquée
par ton regard protecteur sur ma main qui écrit…
Les images ne valent rien. Elles surgissent, je les jette.
Et demain, je recommence tout
car je n’ai que le verbe
et ce que vaut mon poème en moi
d’une poignée de cheveux au dernier de mes os.
Tu es fatiguée, je le ressens aussi, la journée fut longue -
que dire de plus ? le regard des objets s’entrecroise
et chante ta louange, un morceau de sucre
résonne, la goutte de miel retombe
sur la nappe comme une perle d’or,
le verre à eau vide tinte seul.
Heureux de partager ta vie. Aurai-je encore le temps
de dire sa joie dans l’attente de ta venue?
L’obscurité floconneuse du songe te frôle
elle s’envole puis se pose sur ton front.
Tes yeux mi-clos me font signe encore
tes cheveux se dénouent, se répandent comme une flamme,
et tu t’endors. L’ombre allongée de tes cils frémit.
Ta main s’alanguit sur mon oreiller, branche assoupie de saule,
et par toi, je m’endors aussi, habitant du même monde.
Et j’entends venir jusqu’à moi la métamorphose
de toutes les lignes mystérieuses, fines et sages
de ta paume fraîche.
Traduction : R. T. et Muriel Verstichel
A ma connaissance, il n'existait pas de traduction française de ce poème de Radnóti et qui se trouve, de plus, être mon préféré. Ainsi, faute de mieux, j'ai décidé de le traduire moi-même, assistée par Muriel, éminente poète. (Flora)
La version originale se trouve au lien suivant :
floramagyarblogja
vendredi 12 février 2010
Les lauréats du World Press Photo
Voir la photo sur lemonde.fr (photo n°20)
The 1st prize winning entry in the Nature Singles category, Hunting Kingfisher by József Szentpéteri (alias Joe Petersburger), National Geographic.
photographyblog.com
Escalade des responsabilités dans l’affaire BKV
La Hongrie est confrontée à l’une des plus graves récessions parmi les pays de l’OCDE
Quelques suggestions de l'OCDE qui indiquent ses orientations sociales. Sans commentaire... sinon que ces mesures sont les mêmes que celles imposées par le FMI et l'UE en contrepartie du prêt consenti l'an dernier.
"...Le gouvernement doit continuer d’alléger de façon ciblée les effectifs de la fonction publique et renforcer les procédures de passation des marchés...
...Les autorités devraient aussi s’employer à améliorer l’efficacité du système de santé en s’efforçant de dégager un consensus en faveur d’un mécanisme de participation des patients au coût des soins médicaux...
...Les autorités devraient s’employer à assurer une meilleure adéquation entre les études supérieures et les besoins du marché du travail et assujettir le maintien de la gratuité des études à des conditions plus rigoureuses, tout en offrant davantage de possibilités pour la prise en charge des frais de subsistance des étudiants issus de milieux défavorisés..."
jeudi 11 février 2010
Devinez qui est le peintre officiel du sarkozysme? Pal Sarkozy, le père
La presse du monde entier célèbre Sarkozy ! Pas Nicolas, mais Pal son père dont « l’incroyable talent » de peintre éclipse la renommée du refondateur du capitalisme !
Dans un article un peu hagiographique du 20 janvier dernier, l’Express nous racontait l’épopée de la famille du Président notamment celle de l’arrivée du fondateur de la dynastie : Pal : « ... /... Lorsqu’il arrive en France, à l’hiver 1948, il n’a pas un sou en poche, transi sous ses vieilles nippes élimées. Un an plus tard, c’est un dandy bien mis, hâbleur et flamboyant, qui joue de son accent chantant pour séduire Andrée Mallah ... /... « les français connaissent la suite ...
L’homme est intéressant à plusieurs titres, notamment lorsqu’il décide de donner des interviews, comme celle donnée au JDD et reprise par Marianne2 " La suite de l'article dans marianne2.fr
USA: plainte de survivants de la Shoah
Les Magyars sont toujours vaillants
Pour la 41e fois, le rendez-vous annuel avec le cinéma hongrois vient de se tenir. Le temps n’est plus ou de nombreux films sortaient chez nous, ceux de Miklos Jancso par exemple. Pourtant, il est toujours là Jancso, plus libre que jamais malgré, ou à cause de ses quatre-vingt-huit printemps, serrant une main ici puis courant voir un film ailleurs. Autant pour la justice est un modèle de fraîcheur, une tragédie shakespearienne tournée en comédie qui se déroule entre le XIIe et le XIVe siècle avec roi, bouffons, prétendants et domestiques, meurtres, complots et coups d’État. Comme dans ses derniers films, on y danse en commentant l’action, sans se prendre au sérieux, le goût pour la miniature s’accommodant d’un budget qu’on devine modeste. Pourquoi ses films ne sont-ils plus vus en France ?" La suite de l'article sur humanite.fr
mercredi 10 février 2010
« Bibliothèque Pascal », lauréat du « Szemle » 2010
… Et la taxe foncière fait pschitt
Sur le même sujet lire l'article paru sur le Journal francophone de Budapest
mardi 9 février 2010
Le LMP se veut à la fois libéral, conservateur et de gauche
Fondateur du parti Lehet Más a Politika (La Politique peut être Différente), András Schiffer attend avec confiance les élections législatives du mois d’avril...
La plus grande erreur de la classe politique actuelle est, selon lui, que les partis se définissent et formulent leurs idées et programmes en se basant sur le passé et non pas en se tournant vers l’avenir. Ainsi, ceux qui sont „de gauche” en Hongrie ne le sont que parce qu’ils étaient sympathisants du régime socialiste des années 1980 (les “années Kádár”), tandis que les citoyens de droite justifient leur approche par les tristes expériences vécues par leurs familles sous le communisme. Au lieu de s’inscrire dans cette logique, le LMP se veut à la fois libéral, conservateur et de gauche et considère que les trois ne sont pas incompatibles. Selon András Schiffer, il faut séparer les problèmes pour lesquels le libéralisme connaît le remède de ceux qui exigent d’être conservateur et donc défenseur des traditions du pays." Extraits d'un article paru dans le Journal francophone de Budapest.
Décidément la vie politique hongroise a quelque chose de la soupe gulyás :)
Rappelons que les élections législatives sont fixées au 11 avril avec un second tour au 25 avril 2010.
"Selon les derniers sondages effectués en Hongrie, l'opposition conservatrice du parti Fidesz semble devoir l'emporter devant les socialistes au pouvoir avec le Premier ministre Gordon Bajnai.
Un sondage de l'institut Median donne le parti Fidesz de l'ex-Premier ministre Victor Orban largement vainqueur avec les deux tiers des voix, suivi par le parti socialiste avec 20% environ tandis que l'extrême droite du parti Jobbik ferait une percée atteignant 10% des suffrages alors qu'il n'a aucun élu actuellement." Source : 24heures.ch
L’hommage de la Hongrie à Kristina Rady
Un dernier adieu à l’artiste Kristina Rady. Musiciens, amis et anonymes ont rendu un hommage émouvant à «Cini», son surnom en Hongrie, lors d’une soirée organisée à Budapest, sa ville natale. C’est à Budapest, aussi, qu’elle avait rencontré son futur mari Bertrand Cantat lors d’un festival de musiques. Samedi, 300 personnes s’étaient réunies à l’A38, une péniche amarrée sur le Danube près du pont Pétöfi. Les propriétaires de cette salle à la programmation très pointue, étaient des proches de Kristina. C’est elle, en effet, qui avait eu l’idée de transformer l’embarcation en salle de spectacle, sur le modèle du Batofar de Paris, rappelle le site «Hu-lala»." La suite de l'article sur parismatch.com
lundi 8 février 2010
Budapest, capitale du thermalisme
Un peu d’histoire
Il existe à Budapest 10 bains publiques où la température de l’eau varie entre 21° et 76°. Il existe également quelques plages bénéficiant d'eau thermale. Le premier âge d’or des stations balnéaires budapestoises date de l’époque romaine. Les sources naturelles d’eau thermale étaient alors très appréciées. Il fallut toutefois attendre 1000 ans pour connaître l’époque fleurissante du thermalisme, après la chute de l’empire. C'est pourtant aux Turcs que l'on doit d'avoir construit, durant leur long séjour en Hongrie, les thermes les plus fameux, comme par exemple les bains Rudas, qui viennent d’être rénovés." La suite de l'article sur le Journal francophone de Budapest
Budapest retour
dimanche 7 février 2010
Reportage: Le lycée Ambedkar
Ouvert fin 2007, il accueille aujourd’hui plus de 200 élèves : en majorité des roms, mais il est ouvert à tous ceux, jeunes ou adultes, qui souhaitent passer le bac. Un reportage de Florence la Bruyère à écouter sur le site ambedkar.eu
Source: Radio France Internationale
L'euro, la spéculation et le salami hongrois
"Une nouvelle peur hanterait « les marchés », celle du déficit public. Une blague ! En fait les spéculateurs ont mis au point une stratégie destinée à obtenir des intérêts toujours plus élevés. Ils s’en prennent d’abord à la Grèce et au Portugal. Mais les autres, tous les autres suivront.
En 1947, lors de la première conférence du Kominform (successeur du Komintern dissous en 1941), un dirigeant communiste hongrois avait défini la tactique que devaient suivre les communistes dans les démocraties. Il comparait alors les partis non communistes de son pays à un salami : « Je découpe une première tranche et je la mange. Ensuite je découpe une seconde, que j’avale. Puis une troisième et ainsi de suite … » L’anecdote est restée célèbre sous le sobriquet de « tactique du salami hongrois », qui désigne un processus de conquête de l’hégémonie par étapes successives. Le mur est tombé en 1989, et ce sont aujourd’hui les spéculateurs qui nous resservent le salami hongrois, mais agrémenté à leur propre sauce." La suite de l'article sur marianne2.frsamedi 6 février 2010
La culture de l'ouverture
On part du principe que la diversité est un atout, pas un obstacle ». Et la diversité, c'est un peu la raison d'exister de Serge Foucher, le directeur du centre de langues Polyglotte, qui a donné naissance au festival du même nom.
Pour lui, l'apprentissage des langues n'est pas que pédagogique.
Il est surtout culturel. « La charte de l'association Polyglotte parle d'ouverture. Et c'est vraiment notre moteur »
...
Discrète Hongrie
Et comme l'ouverture aux autres cultures n'est pas une évidence, Polyglotte a décidé de choisir la très discrète Hongrie comme invitée d'honneur.
Là encore, le but est de faire découvrir une langue, mais surtout un pays et une façon de vivre..." Extraits d'un article paru sur presseocean.fr
Je n'hésiterai pas à interpeller Nicolas Sarkozy là-dessus : comment lui, à moitié hongrois, ferait-il aujourd'hui pour démontrer qu'il est français ?
Y compris à travers des interviews sur des dossiers très sensibles. Le débat sur la burqa ? "Un nouveau piège tendu à notre pays", un "calcul électoraliste" (La Croix). Le débat sur l'identité nationale ? "Un déversoir et un défouloir" (Le Journal du dimanche). La politique de la ville de Fadela Amara ? "Une succession d'avatars" (Le Monde). Les tracasseries administratives faites aux Français nés à l'étranger pour justifier de leur nationalité ? "Je n'hésiterai pas à interpeller Nicolas Sarkozy là-dessus : comment lui, à moitié hongrois, ferait-il aujourd'hui pour démontrer qu'il est français ?" La suite de l'article sur lemonde.fr
L'Harmattan Hongrie
Espace-Librairie
(Philosophie, Littérature, Accueil
information, Soirées signatures)
21 bis rue des Ecoles,
75005 paris
01 43 29 49 42
La Librairie et son équipe est heureuse de vous informer qu'elle compte désormais dans ses rayons un espace dédié à la mise en valeur du catalogue des productions de l'Harmattan Hongrie.
Vous y trouverez ainsi plus de 150 ouvrages en hongrois couvrant des secteurs aussi variés que la philosophie, la sociologie, l'anthropologie, la littérature..;
Nous serons ravis de vous accueillir et de vous compter parmi nos lecteurs assidus.
jeudi 4 février 2010
4 nuits pour le prix de 3 à Budapest
"Voilà une excellente raison d’offrir (ou de se faire offrir) ... une escapade dans la capitale hongroise. Car, cette année encore, Budapest réédite l’opération « Invitation à Budapest » jusqu’au 31 mars 2010, avec le concours d’une cinquantaine d’hôtels partenaires.
Des établissements 3, 4 et 5 étoiles qui offrent aux voyageurs une nuit d’hébergement supplémentaire gratuite pour le prix d’un séjour de 3 nuits, ainsi que des tarifs promotionnels sur les vols, à partir de 99€ TTC Aller- Retour par personne sur Malev, la compagnie aérienne hongroise." La suite de l'article sur voyage.youvox.fr
Bonjour l'Europe : Budapest recense ses sans-abris
Remise du Prix Nicole Bagarry-Karátson 10 février à 19h Institut hongrois de Paris
Créé dans le cadre de l'Association des Amis de l'Institut Hongrois et sous l'égide de l'Institut hongrois de Paris, ce prix a pour objectif d'encourager la traduction en français d'œuvres littéraires composées en langue hongroise (quel que soit le pays de publication) par des traducteurs de langue maternelle française.
Il compte à ce jour six lauréats: Marc Martin (2003) pour La mort seul à seul (Saját halál) de Péter Nádas; Chantal Philippe (2005) pour La porte (Az ajtó) de Magda Szabó; Françoise Bougeard (2006) pour Ennemi public (Közellenség) d’István Tasnádi; Joëlle Dufeuilly (2007) pour La mélancolie de la résistance (Az ellenállás melankóliája) de László Krasznahorkai, Clara Royer (2008) pour Miséricorde (Irgalom) de Pap Károly; Georges Kornheiser (2009) pour les Poèmes d’Endre Ady.
Cette année, le prix sera remis à Sophie Aude pour sa traduction de Précipice (Szakadék, 1929) et de L’histoire d’une solitude (Egy magány története, 1956) récits de Milán Füst (1888-1967).
Entrée libre
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
mercredi 3 février 2010
La ville hongroise de Pécs devient Capitale européenne de la culture
Première ville hongroise à endosser ce titre, partagé cette année avec Essen (Allemagne) et Istanbul, Pécs attend un million de visiteurs pour les quelque 350 rendez-vous du programme officiel et 200 manifestations périphériques." La suite de l'article sur agora-valdescarpe.com
UNHCR : Des réfugiés somaliens sans abri en plein hiver à Budapest
"Abdurrahman* a réchappé au conflit dans sa ville natale de Mogadiscio et il a enduré des expériences traumatisantes lors de son épopée pour rejoindre l'Europe. Toutefois il confie que rien n'a été pire que sa vie dans la capitale hongroise.
« C'est la pire semaine de ma vie », a indiqué ce jeune réfugié somalien, serrant une tasse de café dans ses mains glacées, aux visiteurs du HCR qui l'ont rencontré alors qu'il était assis sur un banc d'une place du centre-ville de Budapest et qui l'ont accompagné dans un café à proximité.
Comme de nombreux autres Somaliens qui ont obtenu le statut de réfugié en Hongrie, Abdurrahman n'avait pas réalisé que les règlements de l'Union européenne lui permettaient de se rendre dans d'autres Etats pour une période de trente jours, sans pouvoir toutefois s'y installer. Il a rejoint des proches au Royaume-Uni, mais il a été mis en détention et renvoyé à Budapest en décembre dernier conformément au règlement de Dublin II. Ces dispositions obligent les demandeurs d'asile à rester dans le pays où ils ont déposé une demande d'asile, qui est normalement leur premier point d'entrée en Europe." La suite de l'article sur educationsansfrontieres.org
mardi 2 février 2010
Un amateur prend la photo qui a fait toutes les unes. Andras Kisgergely, un Hongrois de 20 ans, était au bord des pistes.

"La photo a fait la une de Libération et de la plupart des journaux hier [26 juillet 2000]. Elle a été diffusée dans le monde entier. On y voit le Concorde qui vient de décoller, suivi d'une longue traînée de flammes et de fumée. Le cliché est flou, mais on distingue la forme caractéristique du supersonique qui vole à basse altitude, à quelques dizaines de mètres seulement au-dessus des arbres. C'est un jeune Hongrois, photographe amateur, qui a saisi ce moment dramatique sur son appareil. Andras Kisgergely, 20 ans, est étudiant dans une école d'ingénieurs de Budapest. Passionné d'aviation, il se trouvait à Roissy hier avec un ami, Szabolcs Szalmasi, 22 ans. Les deux jeunes gens passent leurs vacances à proximité des aéroports et prennent des clichés des avions que, faute d'argent, ils ne peuvent emprunter." La suite sur libération.fr du 27/07/2000
Une nuit à la mémoire de Krisztina Rády sur le A38 à Budapest le 6 février 2010

A NIGHT DEDICATED TO KRISZTINA RÁDY - A38 Ship 06.02.2010. 21:00h / Petőfi Bridge Buda Side * Hawaii Karibu Dj.Set,-Busa Slam,-Besho-Drom,-Maminta Spirulina La Luna ,-Les Hurlements D`Leo,-Dj. Palotai...
Egy est Rády Krisztina emlékének az A38 hajón. Akit szerettünk s aki elment önszántából s aki hiányzik. Nekünk.