Bien avant la consécration de son travail par le prix Nobel de littérature en 2002, Imre Kertész a noté - sur une période de trente ans (1961 à 1991) - ses observations, ses pensées philosophiques et les aphorismes qui l’accompagnaient lors de l’écriture de ses premières oeuvres. A travers un dialogue avec Nietzsche, Freud, Camus, Adorno, Musil, Beckett, Kafka, et bien d’autres encore, Imre Kertész tente, de façon brillante, de penser l’holocauste, la modernité, la liberté et le totalitarisme.
Actes Sud, 2010. Traduit du hongrois par Natalia Zaremba-Huzsai et Charles Zaremba.
mercredi 6 octobre 2010
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