« Un matin, les hommes de la sécurité de jour qui étaient venus relever ceux de la nuit s’aperçurent de la disparition de la Joconde. » C’est ainsi que commence ce thriller drôle et en même temps sanglant, où l’histoire de l’art se mêle à la politique, au sexe, à l’argent et dont les protagonistes sont une détective super-sexy, un oligarque russe super-riche et super-malhonnête, un historien d’art russe super-cultivé et super-corrompu, un peintre japonais, la brigade du grand banditisme, le ministre de l’Intérieur français… et le musée du Louvre.
Dans les années 2010, le célèbre peintre slovaque Karol Quilanin, bel esprit raffiné, réfugié en France depuis une trentaine d’années, transporte ses tableaux de Paris à Bratislava pour y organiser une exposition. Il est accompagné par une jeune fille, Jaja, rencontrée sur Internet. Quilanin prévoit un beau voyage culturel par Munich et Vienne, baigné de peinture et de musique.
Une Française originaire de Bratislava charge la détective parisienne Christine Bard-Muller de suivre le peintre pour une raison précise.
Le voyage ne sera pas aussi paisible que prévu. Pour personne. À l’arrivée ce n’est pas la culture qui sera au rendez-vous. Et au vernissage de l’exposition on ne parlera pas de peinture. Dans ce road-book se rencontrent le vice et la vertu, l’art, la politique, l’Histoire, le sang et le désir.
Djuro Luy a raconté l’enquête précédente de Christine Bard-Muller, liée au vol de la Joconde, dans Permettez-moi de ne pas signer, paru dans la même collection "ArtNoir".
Parus chez Biro éditeur
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