« Alors voilà, ça fait deux jours que t’es arrivé, coco, et tu n’as toujours pas acquitté la rançon de ton accréditation ». Ainsi ânonne et psalmodie la bonne conscience professionnelle du journaleux pris par ycelle en délit de flânerie para-touristique à Budapest, capitale révolutionnaire du XIXe siècle et capitale du porno de la fin du XXe.
A décharge, ledit journaliste bredouille : « Hé, doucement, la Conscience, le Sziget, c’est bigger than life, c’est colossal – et y’a pas d’autre mot : Autant dire qu’on n’en fait pas le tour en deux heures ». Pas question de la jouer à la Guillaume Durand (ou l’art de parler de livres sans les avoir lus) et empoigner son ordi sans avoir approché vraiment le festif objet d’étude, lequel passe par une immersion anthropologique obligée." La suite sur toutelaculture.com
jeudi 11 août 2011
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.