vendredi 8 novembre 2013

Brassaï: un amour inaltérable pour Paris, exposé à l'Hotel de Ville

"Il y avait passé une douce année dans sa petite enfance. Il y est revenu à l'âge de 24 ans et ne l'a quasiment plus quittée. Le photographe Brassaï a éprouvé un amour inaltérable pour Paris, qui lui offre une grande exposition.
C'est dans la Ville Lumière que l'artiste d'origine hongroise, né en 1899 à Brasso en Transylvanie et décédé en 1984 dans le sud de la France, a choisi de faire oeuvre.

L'Hôtel de Ville invite à partir de vendredi le public à engager une promenade savoureuse dans le Paris des années 1930 de Brassaï, peuplé de grandes bourgeoises et de prostituées, de saltimbanques et de mauvais garçons, de travailleurs et d'enfants joueurs. Une capitale qui devient mystérieuse, voire surréaliste, la nuit, sous la pluie ou lorsque monte le brouillard." La suite sur leparisien.fr

2 commentaires:

  1. En ces temps sombres de xénophobies montantes, je me demande que serait la France sans l'apport de ses nombreux amoureux qui l'ont enrichie en échange de l'accueil qu'elle leur avait offert?… Lorsque les petits (et plus grands) Montand (Livi), Brassaï, Kozma, Cioran, Sklodowska etc. etc. sont arrivés, la plupart du temps, on ne pouvait deviner les grands noms qu'ils seront devenus!

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  2. Merci Rozsa de le rappeler. On pourrait citer des noms par dizaines. On pense de suite à Picasso, Modigliani, Soutine et la liste qu'on trouve par exemple sur Wikipédia à propos de l’École de Paris est impressionnante http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_de_Paris

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