"Le Musée d'Orsay rouvre le dialogue entre musique et art en confrontant le compositeur aux peintres de la modernité hongroise.
Surtout, ne pas confondre: l'exposition d'Orsay intitulée Bartok,
Allegro Barbaro n'a rien d'une monographie pour rat de bibliothèque,
avec partitions rescapées et photos sépia. Le musée joue au portrait
chinois avec le compositeur hongrois. Il décline familles et
correspondances: une centaine d'œuvres de peintres parmi ses
concitoyens filent l'humeur de l'Allegro Barbaro. Trois minutes d'une
musique tempétueuse pour piano seul, aux dehors primitivistes mais
témoignant dès 1911 de la parfaite intégration, par le musicien, des
modes et motifs propres au folklore de son pays. Une œuvre étendard,
donc, qui trouve naturellement sa place au cœur de l'exposition. Ses
liens avec l'art pictural y sont inscrits en filigrane." La suite sur lefigaro.fr
jeudi 21 novembre 2013
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