"La documentariste a été une figure du cinéma direct. Trois de ses fictions sont en salles, dont “Peut-être demain” et “La Fête de Maria”, inédites en France.
Le creux de l’été peut être l’occasion de découvrir des cinéastes injustement oubliés, comme la Hongroise Judit Elek (née en 1937) qui s’illustra dans la pratique du cinéma direct, puis qui s’ouvrit à la fiction sans se départir d’un solide attachement au réel. « Il faut que je devienne cinéaste afin de montrer les gens tels qu’ils sont », a-t-elle écrit à 17 ans dans son journal intime. Ce en quoi elle excelle dans La Dame de Constantinople, tourné à Budapest en 1968.
Confrontée à l’individualisme d’un monde dans lequel elle n’a plus vraiment sa place, une femme âgée se réfugie dans les souvenirs dont son appartement est encombré. L’interprétation tout en nuances de la vedette..." La suite sur telerama.fr (article payant)
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