"La classe politique hongroise tout comme les journaux s'émeuvent de la profanation de la tombe de l'ancien dirigeant communiste. "Même notre pire adversaire politique ne mérite pas un tel traitement", estime Magyar Hírlap.
Tous les journaux hongrois évoquent en première page la profanation de la tombe de János Kádár (1912-1989). Des inconnus ont emporté les ossements de l'ancien haut dignitaire de la Hongrie communiste, celui qui avait soutenu l'intervention soviétique de 1956 et occupé les plus hautes fonctions de l'Etat jusqu'en 1988. L'urne funéraire de son épouse a également disparu."
Lire l'article complet d'Agnès Járfás sur Courrier International du 3 mai 2007
samedi 5 mai 2007
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