"Pierre Waline analyse les rapports entre la musique et le nationalisme
Alors qu’en décembre 1790, Joseph Haydn se préparait à partir pour Londres, Mozart lui déclara: „Vous n’êtes pas fait pour courir le monde, vous parlez trop peu de langues”. Et Haydn de le rassurer: „Oh! La langue que je parle est comprise dans le monde entier!”. Ce qui est bien vrai!" La suite sur lepetitjournal.com
lundi 7 novembre 2011
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