samedi 5 novembre 2011
Faciès à faciès
"Trop moche (moralement) pour être vraie. C’est ce qu’on se dit à la voyure expéditive de cette photographie prise en avril à Gyöngyöspata, village du nord de la Hongrie dont la prononciation (en français) n’est pas le seul problème. Dominée par le parti d’extrême droite Jobbik, la mairie de Gyöngyöspata y a mis en œuvre son programme : nationalisme, xénophobie et antisémitisme. Principales victimes : les Roms, c’est-à-dire, traduit en fascisme local par le maire de Gyöngyöspata, «la criminalité..." La suite sur Libération (sur abonnement)
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