"La Hongrie a engagé vendredi des discussions avec le FMI et l'Union européenne qui pourraient aboutir d'ici février à un accord de "soutien à la croissance" mais qui risque de buter sur la volonté affichée du Premier ministre, Viktor Orban, de conserver la mainmise sur la politique économique.
Alors que Budapest rejetait tout recours à l'aide du Fonds monétaire international depuis son arrivée au pouvoir au printemps 2010, la décision du chef du gouvernement conservateur de reprendre contact avec l'institution dirigée par Christine Lagarde constitue une défaite politique sans équivoque." La suite sur nouvelobs.com
samedi 19 novembre 2011
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