"Photo - Dans les années 1930, André Steiner fait de sa compagne son modèle. Et révèle leur intimité.
Sans être aussi réputé que ses compatriotes hongrois Brassaï ou Kertesz - qui comme lui s'installèrent à Paris dans les années 1920 -, André Steiner (1901-1978) connut une exceptionnelle période de créativité. Elle a duré dix ans, le temps d'un amour avec sa muse, Léa Sasson. Le photographe est un athlète accompli. Champion de décathlon et moniteur de natation, il rencontre Léa, qu'on appelle Lily, en 1923, à la piscine du cercle sportif juif de Vienne, où il s'est exilé pour suivre des études d'ingénieur. Coup de foudre. Lily n'a alors que 13 ans. A sa majorité, le couple se marie et déménage à Paris, où André, qui a définitivement opté pour la photographie, pense se faire un nom." La suite sur telerama.fr
Jusqu'au 22 janvier, musée Nicéphore-Niépce, Chalon-sur-Saône (71). Tél. : 03-85-48-41-98 | A lire : Ce qu'on n'a pas fini d'aimer, d'André Steiner, éd. Le Bec en l'air, 139 p., 32 EUR.
mercredi 16 novembre 2011
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