"A Gyöngyöspata, fief des milices d'extrême droite hongroises, les Roms ont été mis au travail forcé depuis septembre. 150 euros par mois pour débroussailler, planter des arbres ou rénover le poste de police locale. La blogueuse et romancière Djemâa Chraïti s'est rendu sur place. Elle raconte les humiliations permanentes, la pauvreté et la ségrégation. Reportage.
Jeudi 27 octobre, 13h. Tout est calme dans le village de Gyöngyöspata, 2 800 habitants, rarement mentionné sur les cartes routières et pourtant devenu le centre de tous les regards depuis que les milices Véderö y ont installé au printemps dernier leur camp d'entraînement avec lasers, bergers allemands, matraques et surtout toute leur haine.
Par la suite Jobbik, le mouvement d'extrême-droite néo-fascisant s'est imposé à la tête de la mairie et a décidé de lancer son programme en transformant le ghetto - un parmi les 1 100 répertoriés en Hongrie - où habitent 450 Roms en laboratoire-test et en forçant les Roms aux travaux obligatoires." La suite sur fr.myeurop.info
mardi 8 novembre 2011
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