"La Hongrie s’isole, adoptant des lois xénophobes. L’exemption fiscale des chiens de race hongroise en est la dernière illustration tragicomique. Perspective historique.
Quelle avalanche! Depuis quelques jours, les qualificatifs les plus
sévères s’abattent sur la Hongrie et son premier ministre. Dérive
autoritaire, démocrature, fascisme rampant, racisme purulent. Il fallait
que l’Union européenne, dont le pays est membre depuis huit ans, fasse
quelque chose. Alors, Bruxelles a décidé d’intervenir.
Pour sauver des médias condamnés au silence? Pour secourir des Roms
menés à coups de trique? Pour faire taire les nostalgiques de la Grande
Hongrie? Mais non! Vous n’y êtes pas du tout: ce qui irrite Barroso et
ses amis, c’est avant tout la perte d’indépendance de la Banque centrale
hongroise. Seules les entraves au néolibéralisme financier semblent
faire bouger la Commission de Bruxelles. Chacun reste maître chez soi, à
condition de ne pas toucher à la déréglementation des finances imposée
par la Banque mondiale, le FMI, le G8, le G20 ou Merkozy." La suite sur largeur.com
lundi 23 janvier 2012
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