"Le film, signé du réalisateur Laszlo
Nemes, est une plongée au coeur de l'ignominie d'Auschwitz. Sa présence
dans la sélection officielle du Festival de Cannes risque donc de
susciter le débat.
Voilà quatre ans - depuis Michael de Markus Schleinzer et Sleeping beauty de Julia Leigh - que le Festival de Cannes n'avait pas retenu, dans sa sélection officielle, un premier long métrage. Avec Son of Saul, Le fils de Saul, l'exception est réitérée. Un honneur qui échoit cette fois sur les épaules d'un Hongrois de 38 ans, Laszlo Nemes.
Ancien assistant de Bela Tarr qui a passé son enfance à Paris, Laszlo Nemes raconte deux jours de la vie d'un prisonnier de guerre juif hongrois travaillant dans un commando spécial rattaché à un crématorium d'Auschwitz. Un homme qui, découvrant un cadavre qu'il pense être son fils dont il n'a jamais su prendre soin, va tenter l'impossible: trouver un rabbin pour l'enterrer." La suite sur lexpress.fr
Ancien assistant de Bela Tarr qui a passé son enfance à Paris, Laszlo Nemes raconte deux jours de la vie d'un prisonnier de guerre juif hongrois travaillant dans un commando spécial rattaché à un crématorium d'Auschwitz. Un homme qui, découvrant un cadavre qu'il pense être son fils dont il n'a jamais su prendre soin, va tenter l'impossible: trouver un rabbin pour l'enterrer." La suite sur lexpress.fr
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