"Le premier ministre hongrois, Viktor Orbán, fragilisé par la montée en puissance de l'extrême droite, s'aligne davantage sur le Jobbik, parti post-fasciste. Budapest prône la chasse aux immigrés, le rétablissement de la peine de mort et la fin des vestiges démocratiques en Europe.
À Budapest, le pouvoir, suite à la perte de deux élections partielles, joue avec le feu en collant aux thèmes et anathèmes de l'extrême droite. Ces dernières semaines, tout semble se précipiter vers le pire dans un pays qui paraissait avoir, au moins, la stabilité pour lui.
Dans un mois, cela fera un lustre que le national-populiste Viktor
Orbán dirige la Hongrie d'une main de fer – il occupe la fonction de
premier ministre depuis le 29 mai 2010. Il a consolidé son pouvoir grâce
à un majorité des deux tiers à l'Assemblée nationale qui lui permit,
légalement, de soumettre son pays à sa main – en témoigne la
constitution adoptée en avril 2011, réactionnaire au possible, chantant
dans son préambule la mythologie d'une Hongrie ..." La suite sur mediapart.fr (version abonnés)
mercredi 29 avril 2015
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