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A l’occasion de la Nuits des musées,
l’Institut hongrois vous propose de vous plonger dans l’ambiance de
l’espionnage pendant le guerre froide :
19h30
et 21h30
Visite guidée de l’exposition Mémoires courtes par la commissaire, Elisabeth Rull.
Visite guidée de l’exposition Mémoires courtes par la commissaire, Elisabeth Rull.
20h
et 22h
projection de La vie d’un agent de Zsigmond Gábor Papp.
projection de La vie d’un agent de Zsigmond Gábor Papp.
2004, 82’
VOSTFR
Entre 1958 et 1988, le studio de cinéma du Ministère de l’Intérieur, étrange atelier cinématographique de l’époque de Kádár, a donné naissance à des centaines de courts et longs métrage éducatifs et de propagande. Une partie de cette production avait pour vocation de former les agents à la défense du régime. Un large éventail de thèmes leur était proposé : perquisition secrète de domicile, surveillance de personnes-cibles, installation de systèmes d’écoute, recrutement d’agents et d’indicateurs. Le contraste entre la narration rudimentaire et la « noblesse » de l’objectif donne à ces films éducatifs un côté ridicule et médiocre. La qualité de leur exécution est toutefois impressionnante : les moyens investis dans ce procédé tortueux d’éducation idéologique surprennent le spectateur d’aujourd’hui. Au travers d’une sélection d’extraits, La vie d’un agent nous plonge au cœur du pouvoir répressif du régime de Kádár.
Entre 1958 et 1988, le studio de cinéma du Ministère de l’Intérieur, étrange atelier cinématographique de l’époque de Kádár, a donné naissance à des centaines de courts et longs métrage éducatifs et de propagande. Une partie de cette production avait pour vocation de former les agents à la défense du régime. Un large éventail de thèmes leur était proposé : perquisition secrète de domicile, surveillance de personnes-cibles, installation de systèmes d’écoute, recrutement d’agents et d’indicateurs. Le contraste entre la narration rudimentaire et la « noblesse » de l’objectif donne à ces films éducatifs un côté ridicule et médiocre. La qualité de leur exécution est toutefois impressionnante : les moyens investis dans ce procédé tortueux d’éducation idéologique surprennent le spectateur d’aujourd’hui. Au travers d’une sélection d’extraits, La vie d’un agent nous plonge au cœur du pouvoir répressif du régime de Kádár.
Entrée libre
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