"Pour sa première participation depuis 1972, la Hongrie a réussi à
atteindre le stade des huitièmes de finale. Une performance qui pourrait
profiter à son fan numéro 1...
Viktor Orbán a deux amours: le foot et sa famille. Apprenant la
naissance de sa petite-fille Alizt, il a laissé tomber ses vacances en
tribunes à l’Euro 2016 et s’est précipité dans le premier avion à
destination de Budapest. Puis il s’est redirigé vers la France, où il a
assisté à la colère homérique de Cristiano Ronaldo, dégoûté par des
Magyars combatifs qui ont poussé ses troupes à un nul fou (3-3) qui les a
qualifiés pour les huitièmes de finale, où ils se sont lourdement
inclinés contre la Belgique (0-4). Orbán, l’habitué des travées, a donné
de la voix pour son loisir préféré. Et mobilisé le budget national." La suite sur slate.fr
jeudi 30 juin 2016
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