"La dépendance de la Hongrie aux exportations a encore affaibli la flexibilité budgétaire de Viktor Orbán, alors que les fonds de relance et de cohésion de l’UE restent gelés.
Cet article fait partie de l'édition spéciale Cohésion sous pression : la Hongrie teste les lignes rouges de l’UE.
Entre le gel des fonds de cohésion européens, les sanctions imposées par l’UE pour manquements aux valeurs communes, et un contexte économique mondial incertain, la Hongrie voit son économie fortement mise à l’épreuve alors que se profilent les élections de 2026.
Le Fidesz, parti de Viktor Orbán, a proposé un « budget anti-guerre » visant la stabilité économique, le bien-être social et la confiance en l’avenir. Ce budget met notamment l’accent sur le soutien aux familles avec enfants, aux jeunes et aux retraités.
Le gouvernement promet la mise en œuvre du plus vaste programme européen de réduction d’impôts pour les familles, le versement garanti du treizième mois, ainsi que la protection de l’emploi et la création de nouveaux postes. Des hausses de salaires figurent également dans les prévisions budgétaires." La suite sur euractiv.fr
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