"La nouvelle constitution hongroise touche aussi les droits syndicaux. Il n'y a pas de raison, tant le poids du Fidesz, le parti au pouvoir, écrase la Hongrie. Tamas Szekely, président du VDSZ, le syndicat de l'industrie chimique, compte 30 000 syndiqués pour un secteur qui représente 70 000 travailleurs. Il s'alarme : « Nous sommes en très gros conflit avec le gouvernement qui refuse désormais de parler avec les syndicats. ...
On doit négocier directement avec les entreprises. C'est dangereux. » La suite sur lavoixdunord.fr
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