"PIERRE VERLUISE
La Hongrie de V. Orban fait encore parler d’elle. En effet, le chef du gouvernement entend renforcer son emprise sur la Banque centrale de Hongrie… alors que le pays est supposé entrer un jour dans la zone euro, ce qui implique une autre conception de la banque centrale nationale et un transfert de souveraineté au bénéfice de la Banque centrale européenne (BCE), indépendante des gouvernements.
L’UE ou le clash des échelles
A l’échelle nationale, la manoeuvre du chef de gouvernement hongrois vise à réduire un contre-pouvoir, une fois de plus serait-on tenté d’ajouter. En effet, depuis son retour au pouvoir en 2010, V. Orban ne cesse de lutter contre les contrepoids démocratiques de l’exécutif. Le Président de la Banque centrale de Hongrie, A. Simor lui donne depuis longtemps du fil à retordre, alors autant lui retirer la possibilité de nommer ses adjoints directs… au bénéfice bien évidemment du Premier ministre. Celui-ci met en place une forme de “démocrature” où les apparences de la démocratie sont de plus en plus formelles voire réduites mais les tendances autoritaires de plus en plus évidentes." La suite sur globalbrief.ca
lundi 2 janvier 2012
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