"Sa nouvelle Constitution est vivement critiquée par Bruxelles qui brandit la menace financière.
La constitution dont vient de se doter la Hongrie fait grincer des dents. Le texte, aux forts accents nationalistes, abandonnant même toute référence à la République, suscite de vives critiques de la part de la Commission européenne. Le principal reproche fait au gouvernement du conservateur Viktor Orbán est de ne plus garantir l'indépendance de la Banque centrale hongroise. Cela compromet la reprise de pourparlers sur une aide financière de 15 à 20 milliards d'euros, dont la Hongrie – membre de l'UE mais pas de la zone euro – a besoin pour se sortir de la crise." La suite sur metrofrance.com
mercredi 4 janvier 2012
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