« Il ne suffit pas d'être hongrois pour être bon photographe, encore faut-il être juif hongrois
», raillait Robert Capa (1913-1954). Il pensait alors probablement à
certains des plus grands photographes du xxe siècle, ses compatriotes
Brassaï, André Kertész ou Lucien Hervé. A cette liste, nous pouvons
désormais ajouter le nom de Kati Horna (1912-2000), dont on découvre le
travail au Jeu de paume, à Paris, dans une exposition émouvante. Une
révélation. Car elle sut marier à la photographie documentaire sociale
ou au photoreportage de guerre différents courants artistiques des
années 1920-1930, tel le surréalisme." La suite sur telerama.fr
jeudi 7 août 2014
Kati Horna - Photographie
"Comme Capa, elle fuit la Hongrie antisémite des années 1930. Son travail révèle une cosmopolite visionnaire et une artiste surréaliste.
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