"Contesté chez lui par un nouvel opposant, le Premier ministre hongrois achève une présidence de l’Union européenne en demi-teinte.
Mercredi 1er janvier, la Pologne succède à la Hongrie à la présidence semestrielle du Conseil de l’Union européenne. Après l’illibéral Viktor Orban, proche de Trump et de Poutine, le libéral Donald Tusk entend jouer à plein l’influence de son pays, qui s’impose comme l’un des grands de l’UE.
Touché, mais pas coulé ! S’il traverse actuellement une mauvaise passe, le Premier ministre hongrois Viktor Orban semble insubmersible, après plus de dix-huit ans de règne (1998-2002 et depuis 2010) et trente-cinq ans de vie politique. Une mauvaise passe ? Des sondages en berne et un nouvel opposant, une présidence tournante de l’Union européenne (UE) en demi-teinte et l'émergence de concurrents dans l’estime de son cher Donald Trump. A 61 ans, le dirigeant hongrois n’a sans doute pas dit son dernier mot, alors que les prochaines élections n’auront lieu qu’au printemps 2026. « L’animal politique très talentueux » décrit par le journaliste hongrois Balint Ablonczy, une plume pourtant très critique, a largement le temps de se refaire..." La suite sur lopinion.fr (article payant)
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