"Quel bilan tirer de la présidence semestrielle du Conseil de l’Union européenne, assurée depuis juillet dernier par le Premier ministre hongrois Viktor Orbán ? Pour le chercheur Cyrille Bret, les résultats obtenus pour l’Europe sont inversement proportionnels aux initiatives tonitruantes prises sur la scène internationale.
« Pour la présidence semestrielle du Conseil de l’UE assumée depuis le 1er juillet par la Hongrie,
l’heure du bilan a sonné. S’il est particulièrement maigre sur la scène
communautaire, il est tonitruant sur la scène internationale. Le
Premier ministre Viktor Orbán a fait de cette présidence une caisse de
résonance inespérée pour son pays, pour son agenda politique et pour
lui-même. Mais sera-t-il en mesure de peser durablement sur l’action de
l’Union européenne une fois la présidence polonaise commencée le
1er janvier 2025, sous la houlette du libéral Donald Tusk ?" La suite sur ouest-france.fr
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