"Ancien mal rasé, cet auteur hongrois s’est converti à la rigueur de son père et a hâte de partager le rituel avec son fils. Chaque semaine, “Courrier international” vous propose un billet qui soulève des interrogations sur notre condition moderne en s’appuyant sur des œuvres littéraires, scientifiques et, bien sûr, philosophiques.
Je haïssais le rasage. Pourtant, à la fin de l’adolescence, j’avais hâte qu’une pilosité cohérente couvre mon visage. Bien sûr, ce n’était pas le rasage qui me séduisait mais la barbe de trois jours. Dans la seconde moitié des années 1980, j’avais vu Highlander avec Christophe Lambert dans le rôle principal avec la musique de Queen sur une cassette VHS archirecopiée.
Difficile d’exprimer l’énorme impact de cette œuvre : les combats à
l’épée dignes de films costumés s’immisçaient dans l’univers de la
science-fiction. Lutter tel un chevalier pour la mortalité et l’amour
véritable entre les décors de New York devenait soudainement la chose la
plus cool (nous nous contentions naturellement de notre imagination et
des rues moins photogéniques de Satu Mare). Et le plus important :
Connor MacLeod, le Highlander écossais, était mal rasé dans les scènes
contemporaines." La suite sur courrierinternational.com
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