"A Budapest, la contestation grandit contre le Premier ministre, accusé de dérive autoritaire. Mais alors que la communauté internationale commence aussi à réagir, l'opposition doit éviter de s’appuyer sur les ingérences étrangères, estime le philosophe Gáspár Miklós Tamás. Extraits.
Il ne fait guère de doute que la Commission européenne et le FMI ont imposé délibérément des conditions impossibles à respecter pour le gouvernement hongrois, le but étant probablement de pousser Viktor Orbàn à démissionner. C’est ainsi que la délégation EU-FMI a rompu les négociations." La suite sur presseurop.eu
mercredi 4 janvier 2012
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