"Portrait - Le Premier ministre a inscrit dans la Constitution des mesures antidémocratiques qui ont entraîné des manifestations.
«Bonne année… 1984 !» clamait la pancarte d’un manifestant se référant au livre de George Orwell. Ils étaient des dizaines de milliers, lundi, à s’être rassemblés devant l’Opéra. A l’intérieur du bâtiment, protégés du peuple par un cordon policier, Viktor Orbán et son gouvernement fêtaient l’entrée en vigueur de la nouvelle Constitution. A l’extérieur, les protestataires scandaient : «Rendez-nous notre république !» Car, dans cette Constitution toute neuve, le paragraphe «La Hongrie est une... " La suite sur liberation.fr
mercredi 4 janvier 2012
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.