"Art nouveau à gogo et sources thermales à profusion, Budapest offre aussi une scène alternative et branchée. Balade entre bars de ruines, théâtres et gares de bus transformés en cafés-restaurants.
Longtemps, Budapest fut la belle endormie. Une femme à l’éclat fané,
sans fards ni retouches, fatiguée et abîmée par le temps et l’histoire.
Elle sort lentement de sa torpeur, ripolinant ses façades de l’âge d’or
et retrouvant un peu de sa grandeur perdue. Sa timide coquetterie la
rend attachante. Un voyage ne suffit pas, on veut la voir encore et
encore. Sans doute aussi parce qu’elle sait faire la fête. Dans ses romkocsmáks
(littéralement « bars de ruines »), on goûte à la palinka, l’eau de vie
locale, en regardant la lune qui, soudain, sans crier gare, fait place
au soleil matinal. Les nuits sont comme des étoiles filantes. La tête
embrumée, il faudra alors se plonger dans les bulles des sources d’eaux
chaudes. Requinqué, on pourra battre le pavé, faire le grand écart entre
Buda et Pest et ouvrir les yeux… " La suite sur lefigaro.fr
dimanche 22 mars 2015
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