"Après avoir entendu le Bartók de 1907 sous l’archet de Kristóf Baráti, hier soir au MUPA [lire notre chronique
de la veille], c’est avec celui de la maturité et de sa dernière
décennie hongroise que nous avons rendez-vous ce matin, dans les ors
ambrés de l’incroyable grande salle de l’Académie Ferenc Liszt, imposant
édifice Szecesszió de Kálmán Giergl et Flóris Korb inauguré le 12 mai
1907.
Les années trente sont celles des chefs-d’œuvre de Béla Bartók – Concerto pour piano et orchestre n°2, Images, Musique pour cordes, percussion et célesta, Quatuor n°5 et Sonate pour deux pianos et percussion –, l’opéra Le château de Barbe-Bleue et le ballet Le mandarin merveilleux faisant exceptions dans les périodes précédentes (respectivement 1911 et 1924). Et c’est précisément avec la Cantata profana que le musicien enrichit considérablement son catalogue dès 1930, bien qu’elle ne serait créée qu’au printemps 1934." La suite sur anaclase.com
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