"La Hongrie a perdu la confiance des investisseurs en raison de sa politique économique chaotique et de ses mesures "non conventionnelles" comme la nationalisation forcée des caisses de retraite privées.
La reprise en main du secteur culturel par les ultranationalistes est sensible à la tête de festivals prestigieux, telle la Semaine du film à Budapest, ou encore au Festival de printemps, ouvert en mars à la Galerie nationale de Buda, en présence du président de la République et de nombreux édiles du Fidesz, au pouvoir." La suite sur lemonde.fr
mercredi 19 décembre 2012
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