"Une photo d'un baiser entre deux migrants, prise par hasard par un photographe amateur hongrois, a été intensément relayée et commentée sur les réseaux sociaux. Il raconte l'origine du cliché pour Slate.
«La photographie est un couperet qui dans l'éternité saisit l'instant qui l'a éblouie», disait Henri Cartier-Bresson. Et avec ce couperet, les photographes capturent des baisers.
István Zsíros,
photographe hongrois, en a attrapé un. Un rare. Un qui résonne si
fortement avec son époque qu'il a déjà fait le tour de Twitter et de
Facebook. C'est celui que se sont échangés deux réfugiés sur l'esplanade
de la gare de Keleti à Budapest, le 30 août 2015." La suite sur slate.fr
zsirosistvan.hu
mercredi 23 septembre 2015
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