"Une île de liberté dans un pays au
gouvernement qui semble vouloir la cloisonner : un paradoxe que nourrit
le festival hongrois Sziget, qui fêtait cette année sa 25e édition. Un
événement démesuré autant dans ses dimensions que dans la variété de sa
programmation, mais qui parvient à nous faire nous sentir hors du temps
pendant une semaine. Comme d’habitude, les organisateurs misent à la
fois sur des têtes d’affiches grand public (Macklemore, Pink, Steve
Aoki…), que sur une programmation plus pointue. Si dans certains
événements la greffe peine à prendre,
ici c’est plutôt le cas. L’éclectisme affiché permet à des publics
hétérogènes de vivre une expérience commune, comme ils ne le feraient
sans doute pas ailleurs. Le décor à la Neverland, et la liste
interminable des activités proposées y contribuent également. On pose
les pieds sur le sol de Budapest deux jours après le début officiel des
festivités. Plongée dans l’un des plus grands festivals d’Europe
(presque) comme si vous y étiez." La suite sur tsugi.fr
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