"La « démocratie illibérale » fermée aux
réfugiés du premier ministre Viktor Orban attire des nationalistes
d’Europe et des Etats-Unis.
Attila Laszlo a enfilé son sweat noir :
aujourd’hui, peut-être, il partira en patrouille avec ses gars pour
assurer, comme il dit, « la tranquillité des braves gens ». On
est dans la petite ville hors du temps de Bekescsaba, à la frontière
entre la Hongrie et la Roumanie. Ce grand gaillard aux sourcils
broussailleux est un milicien hongrois du cru. Hier décrits comme des
personnages marginaux aux confins de l’Union européenne, lui et ses
copains sont les hôtes d’une partie de la « fachosphère » occidentale,
comme on nomme communément le réseau des activistes qui s’adonne à la
« réinformation » des foules en ligne.
En chiffres, le phénomène reste marginal : il s’est développé il y a trois ans, lorsque le premier ministre hongrois, le souverainiste Viktor Orban, a commencé à théoriser son concept de « démocratie illibérale » puis a fermé sa frontière aux réfugiés." La suite sur lemonde.fr (article payant)
En chiffres, le phénomène reste marginal : il s’est développé il y a trois ans, lorsque le premier ministre hongrois, le souverainiste Viktor Orban, a commencé à théoriser son concept de « démocratie illibérale » puis a fermé sa frontière aux réfugiés." La suite sur lemonde.fr (article payant)
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