"Alors que
Bucarest fête l’année prochaine le centenaire des traités de paix de
Versailles et Trianon, et la constitution de la Roumanie moderne,
certains représentants de la communauté hongroise ont dénoncé
« l’assimilation » dont auraient été victimes les minorités.
Par Nicolas Trifon
« Les Roumains devraient accepter que nous ne pouvons ni ne voulons
fêter 2018 », c’est-à-dire le centenaire de la Grande Union, le 1er
décembre 1918, de la Roumanie avec la Transylvanie, a déclaré le 4 août,
Kelemen Hunor, le président de l’Union démocrate magyare de Roumanie
(UDMR). « Je suis certain que si l’État roumain n’avait pas cherché
systématiquement et ouvertement ces cent dernières années à assimiler
les minorités et à liquider tout ce qui n’est pas roumain, la génération
actuelle prendrait une tout autre position sur la question », a-t-il
déclaré au site HotNews.ro]. « La plus grande erreur serait pour nous
d’adopter (...)" La suite sur courrierdesbalkans.fr (article payant)
Les conséquences de cette prise de position en langue hongroise
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.