jeudi 31 janvier 2019

Coup de coeur: "Le Bûcher" du romancier hongrois György Dragomán

Par Pierre Waline
"György Dragomán.... Ce nom vous dit-il quelque chose ? Probablement, pour peu que vous soyez un lecteur assidu au fait des nouveautés sorties en librairie. Pour ma part, à ma grande honte, j‘avoue avoir pratiquement ignoré ce nom, sinon que d‘en avoir glané ici ou là quelques commentaires élogieux, mais sans y prêter jusqu‘ici trop d‘attention. Malgré tout, tombé par hasard sur l‘un de ses romans dans une librairie parisienne, je me suis risqué à en faire l‘achat. Et... je ne regrette pas. Le roman en question "Le Bûcher" (Máglya), traduit du hongrois.

Qui est donc György Dragomán? Considéré par d‘aucuns comme la figure la plus en vue de la littérature contemporaine hongroise, ce romancier est originaire de Transylvanie (Marosvásárhely/Târgu Mureş). Ayant quitté la Roumanie à l‘âge de 15 ans pour s‘installer avec ses parents en Hongrie, il réside à Budapest où il a suivi des études supérieures de philosophie et de littérature contemporaine anglaise. Le départ de la famille (1988) a précédé d‘un an la chute du régime Ceaucescu." La suite sur francianyelv.hu

 Voir aussi litteraturehongroise.fr

UE-Le Fidesz d'Orban ne rejoindra pas l'alliance Ligue-PiS


"BUDAPEST, 30 janvier (Reuters) - Le parti Fidesz du Premier ministre hongrois Viktor Orban ne rejoindra pas l'alliance eurosceptique voulue par l'Italie dans la perspective des élections européennes de mai prochain, malgré une identité de vue sur le dossier migratoire, a déclaré mercredi un membre du gouvernement hongrois.
Au début du mois, le vice-président du Conseil italien Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue d'extrême droite, a proposé que l'Italie et la Pologne joignent leurs forces "pour la renaissance des valeurs européennes".
Viktor Orban a apporté son soutien à cette initiative, soulignant qu'il voulait voir les partis anti-immigration remporter les prochaines élections européennes.
Mais l'un de ses proches conseillers, le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes Szabolcs Takacs, a exclu que le Fidesz rejoigne une autre alliance politique que le Parti populaire européen (PPE) au Parlement." La suite sur zonebourse.com

Après une semaine de grève, les salariés d’Audi Hongrie remportent la bataille salariale

"Au sixième jour de la grève, les négociations ont enfin abouti entre le syndicat indépendant Audi Hungária et la direction de l'usine. Les salariés ont obtenu une augmentation salariale de 18 % pour cette année. Une victoire syndicale historique en Hongrie.
C'est une victoire majeure remportée par le syndicat Audi Hungária Független Szakszervezet (AHFSZ). Mercredi en fin d'après-midi, le syndicat a pu annoncer les bonnes nouvelles sur sa page facebook . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Malgré sa haine des migrants, la Hongrie est contrainte de recruter des étrangers

"En Hongrie, la peur de l'étranger a fait office de programme pour les élections européennes, ce qui crée des pénuries de main-d'œuvre. Illustration avec cet extrait de l'émission "Avenue de l'Europe", diffusée mercredi 30 janvier à 23h40.
À moins de 200 km au sud de Budapest se dresse la frontière avec la Serbie et son impressionnant rideau de fer pour repousser les migrants et protéger ce pays qui est certain qu'il peut réussir seul à retrouver sa grandeur passée. Des certitudes bousculées par la réalité économique. Videoton, fleuron de l'industrie hongroise, est un sous-traitant pour les grands constructeurs automobiles allemands.
Travailleurs venus d'Ukraine tolérés" La suite et vidéo sur francetvinfo.fr

La Hongrie fait à nouveau l’objet d’un débat européen

"Le Parlement européen débat une nouvelle fois ce mercredi sur la situation de l'Etat de droit en Hongrie. Toutefois le Premier hongrois, Viktor Orban, ne fera pas cette fois-ci le déplacement à Bruxelles pour répondre aux questions des députés. Les Verts, les socialistes et les libéraux veulent évoquer la loi sur les heures supplémentaires ou le déménagement de l'Université d'Europe centrale. "Je pense que c'est un signal de solidarité avec les citoyens hongrois qui sont descendus dans la rue avant et après Noël pour essayer de changer leur pays", précise l’eurodéputée écologiste Judith Sargentini, rapporteur d’un texte sur l’Etat de droit en Hongrie." La suite sur euronews.com

mercredi 30 janvier 2019

Le syndicat et Audi se sont mis d'accord sur l'augmentation des salaires

Au sixième jour de la grève, après des négociations de plusieurs jours entre le syndicat indépendant Audi Hungária et la direction de l'usine, le syndicat a réussi à obtenir l'augmentation de salaire qu'il avait défini comme objectif et notamment les 18 % de plus.

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Megegyezett a szakszervezet és az Audi, jön a béremelés

A sztrájk hatodik napján, napok óta folyó tárgyalások után megállapodott egymással az Audi Hungária Független Szakszervezet és a gyár vezetése, a szakszervezetnek sikerült elérnie a célként kitűzött béremelést.
A megállapodás tartalma:
18%, de minimum 75.000 alapbéremelés 15 hónapra
La suite sur merce.hu (en langue hongroise)

Les négociations salariales échouent, la grève se poursuit chez Audi Hongrie

"Les salariés de l'usine Audi en grève depuis jeudi 24 janvier n'ont pas obtenu satisfaction concernant leurs demandes salariales.
Le conflit larvé a débuté au mois de septembre dernier. Les salariés représentés par le syndicat indépendant AHFSZ veulent une augmentation des salaires de 18 % dès cette année 2019. Leur direction leur propose 20 %, mais sur deux ans . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

La ministre de la famille du gouvernement Orbán décorée par la France

"Katalin Novák, secrétaire d’État à la famille et à la jeunesse, a été faite Chevalier de la Légion d'honneur, lundi soir à Budapest. La plus haute distinction de l'État français a été décernée à Katalin Novák, secrétaire d'Etat à la famille et à la jeunesse dans le gouvernement de Viktor Orbán . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

S’il est élu, Lapid exigera qu’Orban s’excuse pour sa « campagne antisémite »

"Le chef du parti Yesh Atid demandera également que son homologue polonais abroge la loi "honteuse" qui absout la Pologne de toute responsabilité dans la Shoah.
S’il est élu Premier ministre lors des élections nationales d’avril, le chef du parti Yesh Atid Yair Lapid exigera que le Premier ministre hongrois formule des excuses pour la « campagne antisémite » déployée par son gouvernement, et que son homologue polonais abroge la loi qui absout la Pologne de toute responsabilité dans la Shoah, a déclaré un porte-parole du parti au Times of Israël lundi.
Réagissant à l’annonce d’un sommet réunissant le Polonais Mateusz Morawiecki, le Tchèque Andej Babis, le Slovaque Peter Pellegrini et Orban – se réuniront à Jérusalem les 18 et 19 février pour un rassemblement du groupe de Visegrad, Lapid a appelé le Premier ministre Benjamin Netanyahu à annuler ce sommet pour sanctionner deux démarches controversées mises en oeuvre par ces deux chefs de gouvernement." La suite sur timesofisrael.com

La politique européenne touchée par la haine

"Les discours de haine touchent désormais la sphère politique. Face à ce phénomène le Parlement européen se penchera ce mercredi à Bruxelles sur les violences verbales et physiques qui atteignent les politiciens. Cette réalité est le quotidien de l'eurodéputée Judith Sargentini, rapporteure d'un texte sur l'Etat de droit en Hongrie. L'écologiste néerlandaise se dit la cible des autorités de Budapest. "Elles sont allées jusqu'à mettre des publicités dans les journaux et auprès des chaînes de télé commerciales, et récemment le gouvernement hongrois a payé pour alimenter des tweets à mon encontre aux Pays-Bas et en Belgique", explique-t-elle." La suite sur euronews.com

Hongrie : la Banque centrale maintient son taux directeur à 0,9%

"La Banque centrale de Hongrie (MNB) a annoncé mardi le maintien de son principal taux directeur au niveau historiquement bas de 0,9%, conformément aux attentes, alors que la possibilité d'un relèvement ces prochains mois semble s'éloigner.

La MNB avait abaissé son taux à ce niveau en mai 2016. Elle conserve par ailleurs depuis mars 2016 un taux négatif pour les dépôts au jour le jour. Celui-ci a été abaissé à -0,15% en septembre 2017.

L'inflation hongroise s'est établie à 2,7% sur un an en décembre avec un niveau sous-jacent de 2,9%, proche de l'objectif de 3% que la MNB souhaite atteindre de façon « durable »." La suite sur cbanque.com

Hongrie. Grève inédite chez Audi

"Les ouvriers du site de Győr débrayent depuis jeudi dernier pour dénoncer l’écart de salaire avec les autres usines du groupe Volkswagen et la loi contestée sur les heures supplémentaires du gouvernement Orbán. L’ampleur du mouvement étonne dans un pays marqué par une faible syndicalisation.
Le 26 janvier 2017, ils avaient cessé le travail deux heures et obtenu 30 000 forints (100 euros) de mieux sur les salaires de base. Deux ans plus tard, presque jour pour jour (le 24 janvier), les ouvriers d’Audi Hongrie suivent largement l’appel au débrayage d’une semaine du syndicat AHFSZ, refusant en bloc les offres de la direction. Les dernières négociations, lundi 28 janvier, ont échoué malgré les 18 % de revalorisation salariale proposés en échange d’une diminution de moitié de la somme accordée à chaque employé pour les frais de cafétéria.
“L’AHFSZ syndiquant 8 700 des 13 000 salariés estime que le prix à payer était trop élevé, d’autant plus qu’il s’agissait de toucher au montant obtenu lors de la grève d’avertissement de 2017. Le blocage pourrait bien se poursuivre après jeudi si aucun compromis..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

VIDEO. "La Hongrie d'abord" : comment le gouvernement Orbán fait plébisciter sa politique de défense de la famille

"Alors que la Hongrie est passée sous la barre des 10 millions d'habitants, le gouvernement Orbán, en guerre contre l'immigration, affiche sa volonté de favoriser les naissances... et les familles nombreuses. Le questionnaire sur sa politique de défense des familles qu'il adresse aux électeurs devrait rencontrer leur approbation…
La Hongrie affiche un taux de natalité parmi les plus bas d'Europe. Pour la première fois cette année, le pays est passé sous la barre des 10 millions d'habitants. Face à la pénurie de main-d'œuvre, pas question pour le gouvernement de Viktor Orbán de recourir à des migrants.
Comme presque tous les ans, il a adressé à chaque électeur hongrois un questionnaire sur sa politique de défense des familles. Chez les Mòrocz, un couple avec trois enfants qui justement vote Fidesz, le parti du Premier ministre, on se fait un devoir de répondre à ce questionnaire. Une équipe du magazine "Avenue de l'Europe" les a questionnés à son tour..." La suite et vidéo sur francetvinfo.fr

mardi 29 janvier 2019

Corruption : seule la République tchèque fait des progrès

"L'ONG anti-corruption Transparency International a publié ce mardi 29 janvier son indice de perception de la corruption 2018. Tous les pays d’Europe centrale sont en régression, à l’exception de la République tchèque.
Tout en haut du classement, il y a les pays scandinaves, la Suisse, la Nouvelle-Zélande, Singapour..., et tout en bas, des dictatures ou des pays en proie à la guerre, tels que la Corée du Nord, le Yémen, la Somalie et la Syrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Le Groupe de Visegrád organise son prochain sommet à…Jérusalem

"Les « quatre » de Visegrád se rassembleront pour un sommet de deux jours à Jérusalem le 18 février. C'est la première fois qu'un sommet du V4 se déroulera hors de l'Union européenne.
Invité par le « V4 » à prendre part à son sommet à Budapest l'année dernière, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou avait promis un renvoi d'ascenseur . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Une grève en Hongrie menace l'approvisionnement d'Audi Brussels

"Plus de 4.000 travailleurs d'Audi sont en grève en Hongrie dans l'usine où l'on produit les moteurs électriques destinés à l'usine de Forest.
Un conflit social dans l’usine Audi hongroise de Győr gagne en intensité. L’usine est l’une des plus grandes d’Audi et emploie 13.000 personnes. Plus de 4.000 personnes sont en grève, dans un mouvement qui a débuté mardi passé. La grève porte principalement sur une augmentation des salaires et d’autres avantages.
Cet arrêt de travail commence à poser des problèmes dans toute la chaîne de production d’Audi. Győr est notamment une usine de moteurs très importante pour le groupe Volkswagen. En Allemagne, les productions des Audi A3, A4, A5 et Q2 de l’usine d’Ingolstadt sont perturbées." La suite sur lecho.be

Israël va accueillir une réunion des dirigeants d'Europe de l'Est, dont Orbán

"Israël va accueillir le mois prochain les Premiers ministres de quatre pays d'Europe centrale, dont le Hongrois Viktor Orbán.
Les quatre dirigeants - le Polonais Mateusz Morawiecki, le Tchèque Andrej Babis, le Slovaque Peter Pellegrini et donc Orbán - se réuniront à Jérusalem les 18 et 19 février pour une réunion du groupe de Visegrád.
Ce sera la première fois que le groupe créé en 1991, aussi appelé V4, qui défend les intérêts des ex-pays communistes d'Europe centrale au sein de l'UE, se réunira hors d'Europe." La suite sur i24news.tv

Nouvelle offensive de Budapest contre la Commission européenne

"La Hongrie demande la suspension du Premier vice-président de la Commission européenne le temps de la campagne électorale. Frans Timmermans mène la liste des sociaux-démocrates pour le scrutin européen du mois de mai. Pour Budapest cette double casquette crée un conflit d'intérêt. De plus, les autorités l'accusent de soutenir le milliardaire Georges Soros, bête noire du Premier ministre hongrois. "Il est évident que M Timmermans est un proche de M Soros. Nous le voyons dans ses meetings, il y a des points communs dans le raisonnement et dans l'agenda politique", assure le porte-parole du gouvernement hongrois, Zoltán Kovács." La suite sur euronews.com

Avenue de l'Europe, le mag - sur France 3 mercredi 30 janvier 2019 à 23 h 40

"Enquête sur la vague de leaders populistes en Europe. Autriche : la peur de l'Islam. Depuis 2016, la coalition de droite et d'extrême droite au pouvoir entend sécuriser les frontières • Hongrie : la peur du grand remplacement. Sous l'impulsion du Premier ministre Viktor Orbán, le pays a mis en place une politique nataliste volontariste • Italie : la peur du vide. En Sicile où le chômage touche un jeune sur deux, les habitants s'en remettent à Matteo Salvini, le leader de la Ligue du Nord, pour redresser l'économie sinistrée."
Source : programme-tv.net

lundi 28 janvier 2019

Nucléaire : la Hongrie veut rééchelonner le prêt russe

"Les travaux d'agrandissement de la centrale nucléaire de Paks ont deux ans de retard. La Hongrie a entamé des négociations avec la Russie afin de repousser d'autant le début du remboursement de son prêt de dix milliards d'euros.
Des discussions sur le rééchelonnement du prêt russe pour la modernisation de la centrale nucléaire de Paks sont en cours, a annoncé vendredi János Süli, le ministre sans portefeuille en charge du projet..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Le rêve hongrois de Barbara Hannigan avec le Philharmonique de Radio France

"Paris. Maison de la Radio – Auditorium. 25-I-2019. Béla Bartók (1881-1945) : Rhapsodie pour violon et orchestre n° 1 ; Suite du Mandarin Merveilleux ; Joseph Haydn (1732-1809) : Symphonie n° 86 ; György Ligeti (1923-2006) : Concert Românesc ; György Kurtág (né en 1926) : Sept Chants ; En souvenir d’un soir d’hiver. Ji-Yoon Park, violon ; Luigi Gaggero, cymbalum. Orchestre Philharmonique de Radio-France, direction : Barbara Hannigan
Barbara Hannigan dirige l’Orchestre Philharmonique de Radio France dans un programme hongrois et se transforme progressivement en musicienne « totale ».
C’est avec la Rhapsodie pour violon et orchestre n° 1 de que s’ouvre cette riche soirée « Rêve de Hongrie ». Composée il y a 90 ans exactement pour Joseph Szigeti, elle est empoignée aujourd’hui par Ji-Yoon Park (co-premier solo de l’orchestre avec Hélène Collerette), avec force vibrato et accents un brin surjoués. Il faut toutefois attendre la seconde partie de l’œuvre (« Friss ») pour que tous les musiciens se mettent réellement à l’écoute de leur cheffe, qui insuffle à l’œuvre une belle énergie et des phrasés acérés." La suite sur resmusica.com

Orban a refusé de faire pression sur Moscou et Pékin sur ordre de Washington

"Viktor Orban a fait savoir aux diplomates états-uniens qu'il souhaitait que son pays soit «neutre, comme l'Autriche», alors que Washington plaidait pour une ligne politique plus dure envers la Russie et la Chine.
Tout en soulignant qu'il souhaitait rester un membre contributeur de l'Otan et qu'il savait apprécier la sécurité procurée par l'Alliance à la Hongrie, le Premier ministre hongrois se dit fermement opposé aux pressions américaines visant à forcer Budapest à limiter l'influence de Moscou et de Pékin en Europe, relate The Wall Street Journal." La suite sur sputniknews.com

Physiciens et réfugiés pendant la Seconde guerre mondiale

"Dans son ouvrage "Savant cherche refuge", le physicien Sébastien Balibar raconte comment les grands noms de la science ont survécu à la Seconde guerre mondiale.
En octobre 2016, l'historien Patrick Boucheron organisait au Collège de France un grand colloque dont le thème était "Migration, réfugiés, exil". Un sujet d'actualité qui résonne fortement avec les pages les plus sombres de l'histoire. Sébastien Balibar, physicien, directeur de recherche au CNRS et membre de l'Académie des sciences,  y a présenté deux figures importantes de sa discipline : le Hongrois Laszlo Tisza et l'Allemand Fritz London, deux savants qui fuirent l'antisémitisme de leurs pays pour se réfugier en France.  Deux acteurs de premier plan dans la compréhension des manifestations macroscopiques de la nouvelle physique quantique qui semblait, à l'époque, cantonnée au monde microscopique des atomes. De leur difficile survie qu'il a reconstituée à travers archives et rencontres, il a tiré un livre publié aux éditions Odile Jacob, intitulé "Savant cherche refuge". Vibrant au rythme de leur fuite périlleuse, l'ouvrage raconte une histoire de la physique qui n'est pas sans rappeler la situation de certains migrants qui tentent aujourd'hui de survivre. Rencontre avec Sébastien Balibar." La suite sur sciencesetavenir.fr

dimanche 27 janvier 2019

Carnaval pour enfants 13 février 2018 de 15h30 à 18h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Comme les années précédentes, nous invitons les plus jeunes accompagné de leurs parents à participer à notre bal masqué. Défilé des princesses, des astronautes et des Petites chaperons rouges, ateliers créatifs et jeux seront au programme.
Pour le goûter, quelques boissons, biscuits et gâteaux seront les bienvenus.
Programme en langue hongroise.
Entrée libre

Aladár Kuncz : un « indésirable » hongrois en France pendant la Grande Guerre

"L'entrée en guerre de la France contre l'Autriche-Hongrie en août 1914 entraîne l'internement de nombreux ressortissants austro-hongrois présents sur le territoire français. Parmi eux : l'écrivain transylvanien Aladár Kuncz, qui témoignera de ses conditions de détention dans Le monastère noir.
Le déclenchement de la Grande Guerre surprend en France de nombreux ressortissants des monarchies allemande et austro-hongroise. Si certains y vivent depuis plusieurs années, d'autres sont simplement de passage. La majorité d'entre eux exercent toutes sortes de métiers. Mais quelques uns, en revanche, sont des personnalités plus marquantes. Ainsi, parmi les Hongrois présents en France au moment de la déclaration de guerre, on relève par exemple la présence d'un responsable politique, le député Barna Buza, d'un artiste, Árpád Késmárky, mais aussi d'un écrivain, Aladár Kuncz. Ce dernier témoignera de cette expérience dans un livre de premier ordre, publié en hongrois peu de temps avant sa mort prématurée due à un cancer du foie, en 1931, sous le titre Fekete Kolostor. Cet ouvrage sera ensuite . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Conférence Le passé, le présent et le futur de la nanotechnologie 26 février 2019 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Conférence donnée par János B. Nagy
Dès l’Antiquité, les artistes ont réussi à nous émerveiller en utilisant différents pigments issus de nanoparticules métalliques. János B. Nagy commencera sa conférence en décrivant les particularités des zéolithes, des nanoparticules organiques et inorganiques et des nanotubes de carbone. Il abordera ensuite l’avenir des nanotechnologies en évoquant les nanomachines, le projet d’ascenseur spatial entre la terre et la lune et la découverte du graphène (dérivé du graphite, nanomatériau constitué d'un seul plan d'atomes de carbone) qui pourrait notamment permettre de fabriquer de l’eau potable à partir d’eau de mer.
János B. Nagy, professeur de physique-chimie, est né en 1941 en Hongrie. Diplômé de l’Université de Louvain, professeur émérite auprès de l’Université de Namur, membre extérieur de l’Académie des sciences de Hongrie, fondateur du Comité pour les droits de l’Homme en Europe centrale.
En coopération avec l’association SIFRAH.
Entrée libre

Veszprém, capitale de la Culture en 2023, doit apprendre des erreurs de Pécs

"Moins d’une décennie plus tard, l’échec est cuisant pour Pécs qui n’a pas réussi à surfer sur son titre de capitale européenne de la Culture en 2010. Veszprém, capitale en 2023, compte miser au maximum sur la proximité du Balaton. Elle ferait bien de regarder là où Pécs a échoué pour éviter de se réveiller aussi avec une gueule de bois l’année suivante . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Éva Magyarósi : Récits privés du jeudi 7 février 2019 au dimanche 17 février 2019 Galerie 24

Vernissage le 6 février 2019 à 18h
Peintre, dessinatrice, narratrice, Eva Magyarosi (Hongrie,1983) est une magicienne de l'animation. Ses dessins animés, au style balançant entre onirisme et réalisme, mettent en scène un univers devenu rare dans l'art contemporain, celui de la vie intérieure. La part secrète, l'intimité discrète de cette femme trentenaire vivant non loin de Budapest, sont le ferment d'une existence intense. La vie, somme d'actions, est plus encore un récit, récit du quotidien, récit des sensations, récit de l'amour et de ses variations, récits des peurs qui balisent à répétition tout sentiment de bonheur et de plénitude, récits, encore, des jeux croisés du narcissisme et de la cruauté ravageuse, celle que l'on attise contre soi-même.
Où les réseaux sociaux ont périmé l'intime et mis en avant, de façon conventionnelle et normative, l'extimité, cette exposition par tout un chacun de sa vie privée, les créations d'Eva Magyarosi recentrent l'individu sur lui-même et pour lui-même d'abord. Qui suis-je ? Qui est ce moi qui est moi? Riche d'une extraordinaire floraison de moments secrets, d'aveux murmurés, d'obsessions diversement saintes ou perverses, de figures de ses proches ou tout aussi bien imaginaires, l'univers plastique d'Eva Magyarosi cultive un goût travaillé pour l'émerveillement. La vie est là, ma vie privée, le conte vrai qu'en extrait l'artiste est la célébration d'un quotidien vécu à fleur de sentiment, dans la peau d'un corps toujours profond, puits prodigue de sensations et d'émotions.
Lieu Galerie 24 Beaubourg | 24 rue Beaubourg 75003 Paris
Contact :  24beaubourg@gmail.com

Cinéma - Les audacieux, réalisé par Zsolt Pozsgai 28 février 2019 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Megszállottak, 2018, 75min, VOSTFR
À Lausanne, en Suisse, éclate en l’an 1536 l’un des débats théologiques les plus célèbres de l’histoire. D’un côté, le jeune Calvin qui deviendra plus tard avec Luther l’un des fondateurs les plus marquants de l’Église protestante. De l’autre, un ex-soldat espagnol qui sera canonisé par l’Église catholique romaine : Ignace de Loyola. Calvin prône la lutte par le fer et le feu pour la nouvelle confession tandis qu’Ignace de Loyola veut renouveler son Église de l’intérieur. Lequel des deux détient la vérité ? Nous découvrons leur vie à travers leur débat théologique. La découverte de leur parcours respectif, parsemé d’amours, de trahisons, d’horreurs et de guerres, nous conduit à cette conclusion : la foi chrétienne ne peut être imposée, elle ne peut venir que d’une conviction intérieure qui trouve sa force dans l’âme du croyant.
Entrée libre

samedi 26 janvier 2019

Européennes : Viktor Orbán dessine une autre Europe

"Le leader hongrois veut orienter les chrétiens-démocrates vers les nationalistes anti-immigration pour bâtir une Europe chrétienne. Sans briser l'Union ?
« L'objectif de la Hongrie est que les forces hostiles à la migration obtiennent la majorité dans toutes les instances institutionnelles de l'Union européenne », lance Viktor Orbán, lors de sa conférence de presse de début d'année, le 10 janvier, à Budapest. Le Premier ministre hongrois, qui a désigné la France de Macron comme l'adversaire à abattre, se donne un second objectif : que son propre parti, le Fidesz, réalise le meilleur score aux élections européennes au sein des partis adhérents au PPE (chrétien-démocrate)." La suite sur lepoint.fr (article payant) 

Des robots tiennent un café à Budapest

"Au Enjoy Budapest Cafe, le personnel attise la curiosité des touristes et des locaux. Cet établissement a embauché plusieurs robots au service et les clients sont ravis.
Développés par la société japonaise Sofbank, les robots peuvent servir de la nourriture, des boissons et même raconter des blagues ou danser. Ce café, créé par la société informatique E-Szoftverfejlesztő dans la capitale hongroise, s’est fixé l’objectif de familiariser le public aux technologies utilisant l’automatisation et l’intelligence artificielle.  Les robots suivent des chemins fixes pour livrer leurs commandes et les clients semblent satisfaits si l’on en croit les avis en ligne. A ceux qui craignent une « robotisation » des postes, le propriétaire du café Tibor Csizmadia déclare : « En réalité, nous employons deux fois plus de personnes qu’auparavant, car il fallait 16 à 20 robots pour fonctionner de 9 heures à 21 heures. il nous faut des informaticiens en arrière-plan ». Pas de suppression de poste donc, juste une évolution de profil." Source : tom.travel

À Budapest, un musée de l'Holocauste qui divise la communauté juive

"Un nouveau musée de l'Holocauste divise la communauté juive à Budapest, où le Premier ministre national-conservateur Viktor Orban est soupçonné de vouloir minimiser le rôle des Hongrois dans la Shoah à travers cette institution.
Établie dans une ancienne gare et signalée par un empilement de wagons à bestiaux évoquant la déportation de centaines de milliers de juifs hongrois en 1944, cette "Maison des destins" est achevée depuis 2015. L'État y a investi 24 millions d'euros.
Mais elle n'a toujours pas ouvert ses portes, la principale organisation juive hongroise, Mazsihisz, et les experts internationaux pressentis ayant claqué la porte de son conseil scientifique, dont un venu du mémorial de Yad Vashem." La suite sur francesoir.fr

vendredi 25 janvier 2019

Malgré la crise du logement, plusieurs milliers d’appartements inoccupés à Budapest

"Face à la flambée des prix immobiliers à Budapest, les personnes et ménages à faibles revenus ont de plus en plus de mal à se loger bon marché. Sur les 40 000 logements publics que compte la capitale hongroise, près de 10% sont pourtant inoccupés.
Il est de plus en plus difficile de se loger à bon prix à Budapest. Face à l'envolée des loyers et du prix au mètre carré dans la capitale hongroise, l'offre de logements publics peine à offrir une alternative suffisante aux personnes et ménages - étudiants, jeunes couples avec enfants, sans emploi, etc. - aux revenus limités. Et la situation n'est pas prête de s'améliorer : les arrondissements se débarrassent à tour de bras de leurs parcs de logements publics et sur les quelques 40000 encore en leur possession, 10% restent inoccupés . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Le Magyar Nemzet, journal emblématique de la droite en Hongrie, va être ressuscité

"Le Fidesz veut ramener à la vie l’emblématique journal qui avait périclité peu après s’être retourné contre le gouvernement de Viktor Orbán.
Suivre les incessants bouleversements du paysage médiatique hongrois est un véritable défi. Dernier développement en date : le « Nemzet » est de retour ! C'est le dernier grand quotidien de gauche du pays, « Népszava », qui l'a appris de plusieurs sources anonymes mais concordantes . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Audi: plus de 4000 employés débrayent dans une usine en Hongrie

"Plus de 4.000 employés de l'usine du constructeur automobile Audi en Hongrie ont débrayé jeudi et ce pour une semaine afin de réclamer une hausse de salaire. La production est à l'arrêt. Audi, un des plus importants exportateurs en Hongrie, emploie quelque 13.000 personnes dans la ville de Gyor (ouest), où il fabrique des moteurs depuis 1994.
C'est le principal syndicat de l'usine, AHFSZ, qui compte 9.000 adhérents, qui a lancé l'appel à la grève mercredi. Il a précisé qu'elle devait durer de jeudi au 31 janvier et qu'elle concernerait toutes les unités de l'usine."La suite sur lalibre.be

Rififi au royaume des Esterházy, mythique famille de la noblesse austro-hongroise

"Mais que se passe-t-il dans l'empire des Esterházy ? L'Autriche s'interroge sur les dessous du mystérieux "enlèvement" d'une octogénaire liée à cette famille issue de la haute noblesse austro-hongroise et disposant d'une des plus grandes fortunes d'Autriche.
La scène se passe mardi après-midi rue Esterházy à Eisenstadt, fief de cette maison jadis étroitement liée aux Habsbourg: deux puissantes limousines embarquent Madolna Ottrubay, 88 ans, alors qu'elle se promène avec son aide-soignante.
La police enclenche immédiatement une vaste opération de recherches à caractère "international", redoutant un rapt de nature crapuleuse et un possible transfert de l'octogénaire en Hongrie voisine." La suite sur liberation.fr

Droit d'asile: l'UE accélère sa procédure contre la Hongrie

"BRUXELLES, 24 janvier (Reuters) - La Commission européenne a annoncé jeudi être passée à la deuxième étape de la procédure d'infraction qu'elle a lancée l'été dernier contre la Hongrie au sujet de sa législation en matière d'asile, baptisée "Stop Soros" par les autorités de Budapest. L'Union européenne reproche au gouvernement de Viktor Orban, qui a fait de la lutte contre l'immigration le marqueur fort de sa politique, l'adoption de cette loi qui a considérablement limité le droit d'asile et transformé en infractions pénales toutes les activités de soutien aux migrants." La suite sur boursorama.com

jeudi 24 janvier 2019

Kino Visegrad présente : Le Citoyen + débat avec Roland Vranik le 24 janvier 2019 à 20 h 45 au cinéma Christine 21

Durée 109 min
Nationalité : Hongrie
Année : 2018
Synopsis :
La cinquantaine, Wilson, dont la famille a été tuée lors d’une guerre civile en Guinée-Bissau, entre en Hongrie en tant que réfugié politique et devient gardien de sécurité dans un centre commercial de Budapest. Son principal désir est d’acquérir la citoyenneté hongroise. L’histoire suit Wilson alors qu’il tente de trouver sa place dans la société hongroise dans sa vie quotidienne, au travail, et avec Mari, une professeur d’histoire qui l’aide à étudier pour l’examen de citoyenneté.

Christine 21
4 rue Christine, 75006 Paris

Hongrie - Budapest : Vivre, investir , s'expatrier - 24 Heures Chrono de l'international 2019

"Hongrie - Focus Budapest : Emission animée par Laetitia Moréni - Journaliste
Invités plateau Róbert Ésik - Président - HIPA SEM Georges Károlyi - Ambassadeur de Hongrie en France Agnès Ducrot - Directrice - CCI France Hongrie Peter Bosnay- Président - Comité Hongrie des CCE Joël Le Pavous - Journaliste basé à Budapest Stéphane Atthar - Fondateur et Directeur Général - Tukan Emmanuel Saincaize - Senior Coach
Interventions vidéos
Jeanne Dubard - Conseillère consulaire pour la circonscription de Budapest - CCE
1ère partie : Introduction La présence française en Hongrie Où en sont les relations économiques franco-hongroises ? Situation économique actuelle du pays
2ème partie : Les secteurs porteurs en Hongrie Les opportunités à Budapest Modalités d'implantation sur place
3ème partie : Les conséquences de la politique économique du gouvernement Orbán Les freins sur le marché économique hongrois
4ème partie : Les différences culturelles entre Français et Hongrois
5ème partie : La vie au quotidien en Hongrie La qualité de vie Le coût de la vie La culture des thermes et des bains
6ème partie : La scolarité Le système de soins
Conclusion"
Vidéo (44' 27 ") à regarder sur 24 Heures chronos de l'International 2019

Marché aux gâteaux Marché 16 février 2019 de 15h à 19h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Budapest la Douce a le plaisir de vous proposer ses délicieux gâteaux hongrois le premier et le troisième samedi du mois de 15h à 19h à l’Institut Hongrois de Paris.
Venez retrouver les grandes classiques de la pâtisserie hongroise : beiglis aux pavots et aux noix, gerbeauds, strudels aux griottes, boules de coco, biscuits linzer, gâteaux aux pommes à la cannelle, flodnis, mignons et petits pogatchas au fromage. Dégustation sur place ou à emporter.
N’hésitez pas à commander vos gâteaux, vos tartes ou vos plats préférés jusqu’à jeudi midi (un minimum de commande est requis) par message au +33 6 19 17 74 47 ou par e-mail au budapestladouce@gmail.com ou par messenger sur notre page Facebook.

Grève : l’usine d’Audi Hongrie à l’arrêt complet

"Les employés de l'usine d'Audi en Hongrie ont cessé le travail ce jeudi et comptent rester en grève pendant toute une semaine si la direction ne cède pas à leurs demandes salariales.
Depuis ce matin 6 heures, l’usine Audi Hungaria Zrt., à Győr, dans l'ouest de la Hongrie, est à l'arrêt complet. Sándor Németh, du Syndicat indépendant des syndicats AHFSZ, a annoncé mercredi soir une grève . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Tunisie : La Hongrie sécurisera la frontière Tunisienne avec la Libye

"Le ministre Hongrois des Affaires étrangères et du commerce Péter Szijjártó qui effectue une visite officielle en Tunisie a déclaré ce mercredi 23 janvier que La Hongrie va aider la Tunisie à sécuriser sa frontière avec la Libye.
« La Hongrie va contribuer au maintien de la sécurité tout au long de la frontière tuniso-libyenne en offrant une formation spéciale aux militaires, aux gardes-côtes et aux experts anti explosifs tunisiens pour lutter contre le terrorisme et le crime organisé » a-t-il dit à l’issue de son entretien à Tunis avec le ministre des Affaires étrangères Khémaies Jhinaoui." La suite sur sahel-intelligence.com

Hongrie: appel à la grève chez Audi pour une hausse salariale

"Des ouvriers du constructeur automobile allemand Audi en Hongrie vont observer une grève à partir de jeudi et pour une semaine pour réclamer une hausse de salaire, un mouvement peu fréquent dans un pays qui compte beaucoup sur le secteur automobile, ont-ils annoncé mercredi.
Audi, un des plus importants exportateurs en Hongrie, emploie quelque 13.000 personnes dans la ville de Gyor (ouest), où il fabrique des moteurs depuis 1994.
C'est le principal syndicat de l'usine, AHFSZ, qui compte 9.000 adhérents, qui a lancé l'appel à la grève. Il a précisé qu'elle doit durer de jeudi au 31 janvier et qu'elle concernera toutes les unités de l'usine." La suite sur lefigaro.fr

Dans un lycée de Szeged, l’éducation aux médias est un sport de combat

"Article publié le 11 décembre 2018 dans Abcúg sous le titre « A közélet sem tabu a szegedi tanár médiaóráján ». Traduit du hongrois par Ludovic Lepeltier-Kutasi.

Dans le lycée Ferenc Deák à Szeged, la grande ville du sud de la Hongrie, il y a une professeure du nom d’Eszter Erdélyi qui n’a pas renoncé à parler du vrai monde à ses élèves. Elle leur apprend la critique des médias, à s’informer, à déjouer les propagandes, exactement comme le prévoit le programme scolaire.
« Pourquoi n’avez-vous pas ressenti le besoin de lire l’article jusqu’au bout pour savoir ce qu’a commis le premier ministre Gruevski ? », demande cette enseignante à ses élèves [en référence à un récent scandale impliquant cet ancien dirigeant macédonien et le gouvernement hongrois, ndlr]. Elle précise sa question : « Souvent on lit les gros titres pour se faire une idée sans prendre la peine de lire le reste et ça nous entretient dans nos propres grilles d’analyse. Pourquoi ne vérifie-t-on jamais ? Je vous pose la question sincèrement. Comment pouvons-nous alors nous faire notre propre opinion ? »
" La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

A propos de l’actualité: Edina Szvoren

"L’écrivaine et poète hongroise Edina Szvoren a reçu vendredi dernier le prix littéraire Mészöly Miklos. Celui-ci, institué en 2004, est décerné chaque année le jour anniversaire de la naissance de cet auteur hongrois (1921-2001) à un ou une jeune écrivain, critique littéraire ou historien de la littérature. Il a été remis, à Szekszárd (ville natale de Mészöly) à Edina Szvoren pour son dernier livre, le recueil de nouvelles Verseim. Tizenhárom történet (Mes poèmes. Treize histoires) et notamment son style viscéral explorant sans pitié la psychologie des relations humaines." La suite sur passagealest.wordpress.com

mercredi 23 janvier 2019

Les Hongrois d’Ukraine, petit pion sur le grand échiquier

"La minorité hongroise qui vit dans l’Ouest de l’Ukraine, dos à la frontière hongroise, est-elle menacée par les groupes nationalistes ukrainiens ? Les Magyars ont-ils des velléités séparatistes ? Quelle est leur relation avec Budapest ? Entretien avec trois géographes à l’Académie hongroise des sciences, auteurs d'un rapport sur la situation de la minorité hongroise en Ukraine . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

« George Soros était l’ennemi parfait ». La machine de propagande d’Orbán mise à nue

"George Birnbaum, associé du défunt Arthur J. Finkelstein, consultant en marketing politique pour les droites dures de par le monde, a raconté à « Das Magazin » comment il a aidé Viktor Orbán à revenir et se maintenir au pouvoir depuis dix ans en manipulant l’opinion, notamment en faisant de George Soros l'ennemi public N°1 en Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Les Prix Louis-Jeantet récompensent un Italien et un Hongrois

"Les Prix Louis-Jeantet 2019 ont été attribués mardi à l'Italien Luigi Naldini, 60 ans, et au Hongrois Botond Roska, 50 ans. Le premier est un pionnier de la thérapie génique, tandis que le second ambitionne de restaurer la vision des personnes aveugles.
Les Prix Louis-Jeantet comptent parmi les distinctions les mieux dotées en Europe. Chacun des deux lauréats recevra 500'000 francs, dont 450'000 francs pour la poursuite de leurs travaux de recherche et 50'000 francs qui leur seront remis à titre personnel, a fait savoir la Fondation Louis-Jeantet." La suite sur rfj.ch

Les survivants de la Shoah pourront poursuivre la Hongrie en justice aux USA

"Les poursuites se chiffrant en milliards de $ remontent à 2010. La Cour d'appel estime qu'en matière de justice, les USA peuvent instruire. Les avocats saisiraient la Cour suprême.
BUDAPEST – Le deuxième plus haut tribunal des États-Unis a rétabli un procès intenté par un groupe de survivants de la Shoah et leurs familles contre le gouvernement de la Hongrie et sa compagnie nationale des chemins de fer. Le recours collectif exige la réparation du rôle joué par la Hongrie dans le meurtre de 500 000 Juifs et la saisie de leurs biens pendant la Seconde Guerre mondiale.
Préparant le terrain pour ce qui pourrait être un procès civil historique se chiffrant en dizaines de milliards de dollars, la juge Patricia A. Millett a écrit le 28 décembre à la Cour d’appel du district de Columbia que la Hongrie ne pouvait forcer les demandeurs à faire juger l’affaire par un tribunal hongrois." La suite sur timesofisrael.com

Tunisie-Hongrie : Péter Szijjártó attendu mercredi 23 janvier à Tunis

"A l’invitation de son homologue tunisien, Khémaies Jhinaoui, le chef de la diplomatie et Commerce de la Hongrie, Péter Szijjártó, effectuera le 23 janvier une visite officielle en Tunisie accompagné de hauts responsables hongrois.
Cette visite s’inscrit dans le cadre de la dynamique des relations entre Tunis et Budapest et leur volonté de consolider les différents volets de coopération bilatérale.
Il s’agit également d’intensifier les concertations politiques, surtout après la visite effectuée par Jhinaoui à Budapest les 2 et 3 novembre 2016 et celle de son homologue hongrois à Tunis le 24 avril 2017." La suite sur webmanagercenter.com

mardi 22 janvier 2019

Folklores Chœur d'enfants de l'Orchestre de Paris - Bárdos, Bartók, Kodály, Ligeti Dimanche 31 mars 2019 — 15h00 Salle des concerts - Cité de la musique

Choeur d'enfants de l'Orchestre de Paris © Frederic Desaphi
Programme
Choeurs pour voix d'enfants de Lajos Bardos, Bela Bartok, Zoltan Kodaly et Gyorgy Ligeti

Distribution
Choeur d'enfants de l'Orchestre de Paris
Lionel Sow, direction
Edwin Baudo, chef de choeur associé
Marie Deremble-Wauquiez, chef de choeur associé
Marie Joubinaux, chef de choeur associé
Béatrice Warcollier, chef de choeur associé
Jonas Vitaud, piano

Comme un véritable ethnomusicologue, Béla Bartók a recueilli les musiques traditionnelles de Hongrie. Ses œuvres vocales en redonnent une lecture fraîche et joyeuse, à la limite entre le savant et le populaire. Dans son sillage, les compositeurs de l’école hongroise ont fait de même. 


Cité de la musique - Philharmonie de Paris
221, avenue Jean-Jaurès
75019 Paris

Plus d'information sur philharmoniedeparis.fr

Hommage à Béla Halmos Projection et concert 23 février 2019 à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Photo : Péter Kollányi, MTI
Projection du film suivie par un court concert du groupe PG
Béla Halmos, (1946-2013), ethnomusicologue, remarquable interprète de musique folklorique. Parmi les nombreux prix et récompenses qu’il a reçus, le prix Széchenyi saluait « son riche corpus artistique et scientifique dans le domaine de la musique folklorique ». Il fut l’un des fondateurs de la méthode Táncház (« maison de danse ») inscrite au patrimoine culturel immatériel de l'Organisation des Nations Unies pour la science et la culture (UNESCO). Il a joué pendant sept ans au sein du groupe PG qui veille sans relâche à commémorer le souvenir de ce musicien-chercheur de grand renom. La projection du biopic Hamvas réalisé par György Szomjas sera suivie de quelques morceaux interprétés par le groupe PG qui sont le fruit de ces sept années de collaboration.
Membres de la formation : Zsolt Jantyik, Fruzsina Erdős-Tóth, Csaba Jantyik, Szabolcs Takács, Zsolt Tóth, Balázs Gyarmati
Entrée libre

L'homme aux mille affiches de concerts clandestins

"En marge d'une édition de Futuris consacrée à un projet européen qui vise à mieux préserver les documents en lien avec l'art dissident dans les anciens régimes communistes d'Europe centrale et orientale, nous interrogeons un collectionneur hongrois d'affiches de concerts clandestins qui participe à cet effort de recherche.En 1978, Tamás Szőnyei, ancien journaliste spécialisé dans la musique et actuel archiviste, a commencé à collecter dans les rues, les affiches de concerts clandestins organisés à Budapest du temps du régime communiste.
Aujourd'hui, sa collection d'un millier de posters a intégré une immense base de données en cours de construction dans le cadre d'un projet de recherche européen appelé COURAGE et ainsi, rejoint des centaines de milliers d'autres documents en lien avec la dissidence culturelle dans les anciens régimes communistes de l'Europe centrale et orientale." La suite et vidéo sur euronews.com

Dossier - Hongrie - Jászus Hungaricus

"Un dossier sur le jazz et les musiques improvisées en Hongrie, les musicien.ne.s et les structures qui font vivre ces musiques.
Un dossier subjectif et incomplet, forcément.
Jusque dans les années 80, les pays de l’ancien bloc soviétique ont été dans l’angle mort du jazz européen. La Hongrie, par sa position centrale, par son histoire de carrefour culturel et par sa réputation d’excellence musicale a construit, à l’ombre du rideau de fer, une musique riche.
Le Jazz hongrois est friand d’échanges, à la fois fort respectueux des traditions et furieusement fier de son indépendance. Ce dossier est l’occasion de montrer la diversité, la cohésion et la richesse d’une scène qui a une place privilégiée en France, malgré la nécessité de la découverte."
La suite à découvrir sur citizenjazz.com

Immersion à 360° dans l'art dissident de l'ex-Bloc soviétique

"En marge d'une édition de Futuris consacrée à un projet de recherche européen qui vise à mieux préserver les documents liés à l'art dissident dans les anciens régimes communistes d'Europe centrale et orientale, nous découvrons une fresque emblématique de cette résistance culturelle et visitons des archives qui participent à cet effort de recherche commun en Europe.Dissimulée dans un appartement de Budapest, cette fresque pop art avait tout pour provoquer l'ancien régime communiste hongrois. En 1971, l'artiste Gyórgy Kemény y a représenté des personnalités et des symboles de la fin des années 60 allant à l'encontre de l'art officiel de l'époque.
Cette peinture fait partie des milliers d'œuvres compilées dans une nouvelle base de données née du projet de recherche européen appelé COURAGE qui réunit d'innombrables documents en lien avec l'art dissident dans les pays de l'ex-bloc soviétique." La suite et vidéo sur euronews.com

En Hongrie, les manifestations s’intensifient contre Viktor Orbán

"Des milliers de manifestants ont défilé en Hongrie et dans les rues de Budapest ce samedi 19 janvier. Ils s’opposent à une loi sur le travail “esclavagiste” mais aussi à la dérive autoritaire du président Viktor Orbán.
C’est une manifestation comme on en voit peu souvent en Hongrie. Samedi 19 janvier, ils étaient des milliers à défiler dans les rues de Budapest à l’appel des opposants du Premier ministre Viktor Orbán. La cause, une réforme du Code du travail qualifiée “d’esclavagiste” par les syndicats qui permet aux patrons d’imposer aux salariés jusqu’à 400 heures supplémentaires contre 250 actuellement en les payant jusqu’à trois ans plus tard. Certes, le pays est en manque criant de main d’oeuvre (le chômage avoisine les 4%), souffre de la fuite de ses travailleurs (près de 600 000 depuis 2010) et de la baisse de la natalité. Mais cette loi, adoptée le 12 décembre, est très défavorable aux salariés : si un employé est au chômage technique après une période où il a effectué beaucoup d’heures supplémentaires, son employeur peut faire la moyenne du volume de travail effectué. Un mode de calcul faisant tout simplement disparaître les heures supplémentaires et qui scandalise les syndicats. Ces derniers n’ont pas été consultés lors de l’élaboration de la réforme, les poussant à s’unir pour l’occasion." La suite et vidéo sur francetvinfo.fr

La gauche organise des primaires pour reconquérir Budapest cet automne

"Depuis fin décembre, les deux partis de gauche MSzP et Párbeszéd organisent des primaires pour départager leurs candidats respectifs Csaba Horváth et Gergely Karácsony en vue des élections locales de la rentrée prochaine à Budapest. Le premier débat public entre les deux hommes a eu lieu dimanche après-midi.
"Il est évident que ce gouvernement va être mis en déroute. Mais avant ça, il faut reconquérir Budapest". Ces mots de l'écologiste Gergely Karácsony résument assez bien l'état d'esprit de la gauche hongroise à un peu moins d'un an des élections locales . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Vasarely le grand retour

"Artiste phare mondialement reconnu dans les années 1960-1970, sa notoriété s’était progressivement estompée. Une vaste exposition au Centre Pompidou Paris ressuscite Victor Vasarely, créateur prolifique dont la grande ambition fut « l’art pour tous ».
Né sujet austro-hongrois en 1906 à Pécs, il grandit à Pöstyén, petite ville frontalière du nord de la Hongrie où on lui impose de parler successivement le hongrois puis le slovaque. À la suite de la Première Guerre mondiale, la ville est rattachée à la Tchécoslovaquie. La famille rejoint Budapest en 1919 après un « véritable exode » à pied à travers la Bohême et l’Autriche. L’inventeur, quarante ans plus tard, d’un utopique « Alphabet plastique universel », n’oubliera jamais cette épreuve : « C’est en effet là que je pris conscience des limites du patriotisme et des problèmes de races, de langues et de cultures. »" La suite sur lejournaldesarts.fr (article payant)

lundi 21 janvier 2019

Chronique - Gábor Gádó & Laurent Blondiau Veil And Quintessence

"Gábor Gádó (g), Laurent Blondiau (tp, flh)
Label / Distribution : BMC Records 
Voilà presque cinq ans que l’on avait pas eu de nouvelles de Gábor Gádó. Non qu’on n’en ait l’habitude : déjà plus d’une trentaine de mois avaient passé avant la parution de son album précédent, le fondateur Lung-Gom-Pa. Être rare dans une époque de profusion est parfois une qualité mais l’attente semblait longue, d’autant qu’il est peu probable que le guitariste soit dans ce genre de calcul. Pour étancher notre curiosité, voici Veil And Quintessence, un album tout simple enregistré avec le trompettiste et cornettiste belge Laurent Blondiau. Un duo marqué par une proximité naturelle avec les musiques anciennes pour le Hongrois. Sur le magnifique « Kenpo », on retrouve la sonorité traînante et pleine d’écho de sa guitare, qui habille de contrepoints fluides et lumineux une trompette tout en clarté. Bach n’est pas loin, suggéré, caressé, invoqué parfois comme dans « Little Protestant Jazz Song », incontestable sommet de ce disque." La suite sur citizenjazz.com

Cinéma - Les Garçons de la rue Paul, réalisé par Zoltán Fábri 21 février 2019 à 19h30 Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44


Littérature et cinéma en Hongrie (1949-2000) : Passages, résonances, surgissements
A Pál utcai fiúk, 1969, 110min, VOSTFR
Ce cycle vise à questionner l’adaptation cinématographique d’œuvres littéraires en Hongrie à partir de 1949 et jusqu’au début des années 2000. Explorant trois périodes historiques (empire austro-hongrois, Seconde Guerre mondiale, période communiste), les films proposés cette année donnent l’occasion d’interroger l’enjeu du temps historique au cinéma. Dans quelle mesure, à partir de récits littéraires, les cinéastes poétisent-ils l’Histoire, entremêlant dans le présent du film le temps d’avant et le « temps d’après » (J. Rancière) ? Cycle conçu et animé par Mario Adobati, Damien Marguet et Mathieu Lericq.
Se déroulant à Budapest au début du XXe siècle, cette fable initiatique raconte les jeux dangereux qui organisent la vie enfantine et adolescente. Deux groupes rivaux, les traditionnels et les « Chemises rouges », se disputent un terrain vague. Fresque sociale interrogeant les enjeux de l'honneur, de la trahison, de la vérité et du mensonge, le film de Zoltán Fábri métaphorise par le détour d'un récit a priori anodin la situation sociale et politique de la Hongrie communiste à la fin des années 1960.
Séance présentée par Mathieu Lericq.
Entrée libre

Hommage à Duke Ellington et Billy Strayhorn + jam session avec Ramona Horvath au Sunside lundi 21 janvier 2019 à 21 h

Hello les amis ! Je vous invite venir nous voir , nous écouter ET jouer avec nous Lundi le 21 janvier @ Sunside. Je serai en trio avec Nicolas Rageau on double bass & Antoine Paganotti on drums.
BIG party , JAM SESSION - Duke & Billy , venez nombreux dans the best jazz club in town ! Entrée (et sortie) libre

Cordes parfaites Concerts Dimanche 27 janvier, à 15 h 30, au Pôle culturel de Cazaubon

"Ce n'est pas parce qu'elle admire Boeing que Lilla Papp a nommé son ensemble Pupitre 777. Mais parce que «l'orchestre est ouvert à tous, de 7 à 77 ans, que le 7 est un chiffre parfait, comme nous», plaisante la musicienne. Cette professeur de violon et d'alto, originaire de Hongrie, enseigne dans tout le Sud-Ouest et fait vivre depuis dix ans son groupe gersois, constitué en majorité de ses élèves. Au départ, c'est la volonté «d'amener les plus jeunes dans un petit orchestre pour qu'ils puissent voir différents niveaux» qui a poussé l'instrumentiste à créer la formation. Constitué uniquement de cordes (violon et violoncelle), Pupitre 777 comporte une quinzaine de membres, du débutant à l'instrumentiste confirmé." La suite sur ladepeche.fr
Concert
Dimanche 27 janvier, à 15 h 30, au Pôle culturel de Cazaubon. 5 €.

Chronique - Modern Art Orchestra Plays Béla Bartók 15 Hungarian Peasant Songs

"Invité au long cours, presque ami de la famille, Dave Liebman ouvre d’un solo sage mais lumineux ces 15 Hungarian Peasant Songs du Modern Art Orchestra (MAO) du trompettiste Kornél Fekete-Kovács dans un « Rubato » où Balázs Cserta le rejoint au tárogató, un des instruments traditionnels inclus dans l’orchestre. Plus loin, le célèbre saxophoniste Mihály Dresch jouera du fuhun, un autre bois à anche double, dans un bel « Andante », puis naturellement viendra Miklós Lukács au cimbalom sur un très bel « Allegro »… Tant d’instruments que Bartók aura contribué à mettre en valeur dans son travail de collectage." La suite sur citizenjazz.com

Entretien - István Grencsó Un saxophoniste ardent, un héraut du Free

"Méconnu en France en dépit d’une discographie impeccable et de collaborations foisonnantes avec de grands noms de l’improvisation européenne, István Grencsó est un saxophoniste ardent, un héraut du free qui sait ce que liberté veut dire. Après avoir débuté sa carrière aux côtés de György Szabados, notamment dans l’orchestre Makuz, Grencsó s’est illustré avec son Kollektiva dont nous faisons ici régulièrement recension. Ses ensembles, incubateurs de jeunes talents et concentrés d’énergie, font la part belle à une grande rigueur rythmique et à une poésie omniprésente ; en témoigne sa collaboration avec Lewis Jordan. Rencontre avec une véritable légende." La suite sur citizenjazz.com

Chronique - András Dés Trio - The Worst Singer in the World

"András Dés (perc.), István Tóth Jr. (guit), Márton Fenyvesi (guit, effets)
Label / Distribution : BMC Records 
Lorsqu’on demande à András Dés pourquoi il a souhaité créer un trio composé d’un percussionniste et de deux guitaristes, il répond « parce qu’István Tóth Jr. et parce que Márton Fenyvesi ! ». Et il suffit de tendre une oreille à l’album pour comprendre le sens de sa réponse. La créativité des musiciens est telle qu’on ne voit pas ce qui pourrait être ajouté à ce trio aux allures d’orchestre.
Tout en finesse, les guitares se mêlent aux innombrables percussions d’András Dés, que ses fils qualifient peut-être le pire chanteur du monde, mais qui s’avère l’un des percussionnistes les plus inventifs actuels, et pas seulement en Hongrie. Sa recherche s’oriente sur la mélodie, et tout est prétexte à souligner les notes des guitares dans cet album entièrement acoustique, hormis quelques effets saupoudrés avec parcimonie." La suite sur citizenjazz.com

En Hongrie, on s’essaie aux blocages de routes pour se faire entendre

"Samedi, une multitude de petites actions ont été organisées en province contre le gouvernement Fidesz et la loi « esclavagiste ». A Budapest en revanche, les manifestants ont essuyé un échec cuisant.
« Bloquons le pays ». Tel était le mot d'ordre des syndicats et des partis politiques pour ce samedi, nouvelle journée de grogne sociale après l'adoption de la loi controversée sur les heures supplémentaires . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Entretien - Csaba Palotaï : Le guitariste hongrois vit en France depuis 1996

"Csaba Palotaï s’inscrit dans une double tradition du jazz hongrois : celle de la guitare, et celle de l’exil. Installé en France depuis 1996, il a côtoyé très vite les musiciens français de sa génération, comme Rémi Sciutto ou Thomas de Pourquery avant de poursuivre une voie très personnelle où se croisent le rock, le blues et le jazz le plus libre. On en avait eu un aperçu dans The Deserter, un album solo sorti en 2016 ; il transforme l’essai avec Antiquity un disque paru en trio sur le label Budapest Music Center. Rencontre avec un observateur et un acteur passionnant de la relation entre les musiciens hongrois et français." La suite sur citizenjazz.com

Entretien - Gábor Gadó Rencontre avec un des grands noms du jazz européen.

"Gábor Gadó est certainement le personnage central de ce dossier Hongrie, et l’interviewer répondait à une nécessité. Celui qui dans le milieu des années 90 est arrivé en France, à une époque où le rideau de fer laissait passer les musiques de marges, a attiré l’attention des amateurs de jazz et a tissé des liens avec de nombreux musiciens français.
Après plusieurs années de retrait discographique, toujours entre Budapest et Lyon, le guitariste revient avec Veil And Quintessence un bijou en duo avec le trompettiste belge Laurent Blondiau. Sa parole est comme son jeu, reconnaissable immédiatement : franche, persistante, intelligente et claire ; le regard qu’il porte sur la musique hongroise et européenne est fort et puissant." La suite sur citizenjazz.com

Magyar Moderne, focus hongrois - Petit tour d’horizon du jazz hongrois

"La Hongrie est un paradoxe. Pays de moins de 10 millions d’habitants, qui a été une partie d’empire attachée à l’Autriche, carrefour incontournable de l’Europe resté longtemps au cœur des tensions internationales, c’est également un incroyable vivier d’artistes et de penseurs qui se sont nourris des mouvements de populations et des ruptures de l’histoire. De Ferenc Liszt à György Kurtág, les compositeurs de musique écrite occidentale ont toujours été un fer de lance d’une tradition, celle de l’excellence musicale à Budapest, ville d’empire séparée en deux par le Danube, comme une césure entre l’Occident et l’Orient. Un lieu de frottement créatif propice à tous les échanges sur lequel prospèrent les musiciens de jazz dont la particularité a couvé derrière le Rideau de Fer. Une famille protéiforme qui mérite d’être mieux connue." La suite sur citizenjazz.com

Tennis - Open d'Australie 2019 - Babos et Mladenovic, toujours là en double

"Quant à Kristina Mladenovic, associée à la Hongroise Timea Babos, les tenantes du titre, jouaient, samedi, la paire composée de la Croate Darija Jurak et la Chinoise Han Xinyun pour une place en huitième de finale. Et elles ont obtenu leur billet en s'imposant en trois sets : 2-6, 6-1, 6-0. Elles affronteront, lundi, la paire Kirsten Flipkens / Johanna LarssonKristina Mladenovic et Timea Babos sont en route vers la conservation de leur titre ! " Source tennisactu.net

Sébastien Boisseau - Un entretien autour de Gábor Gadó, le label BMC et la scène Hongroise.

"Le contrebassiste Sébastien Boisseau - certainement le musicien français le plus impliqué avec la scène hongroise - collabore depuis de nombreuses années avec le guitariste Gábor Gadó et le label BMC. Au côté de Matthieu Donarier et Joe Quitzke, il est, avec Christophe Monniot également, curieux de ces rencontres trans-européennes qui enrichissent en permanence son langage musical. Faisant fi des replis nationalistes, envisageant les rencontres et les croisements comme une utopie artistique concrète, il revient pour Citizen Jazz sur cette collaboration au long cours.
Quel est votre premier enregistrement pour BMC Records ?
Il doit s’agir de l’album de Gábor Gadó Homeward avec Gábor Winand, Matthieu Donarier et Joe Quitzke, sorti en 2001.
- A ce jour, à combien d’enregistrements avez-vous participé pour ce label ?
J’ai dû recompter : à ce jour dix-neuf… !!
- Comment s’est faite la rencontre entre BMC et la scène française ?
 " La suite sur citizenjazz.com

dimanche 20 janvier 2019

Andy Vajna, le producteur de Rambo et Terminator est mort

"On lui doit une multitude de blockbusters à succès, tels que Rambo, Terminator ou encoreDie hard.
Le producteur américano-hongrois Andy Vajna est décédé à l'âge de 74 ans.
"Après une longue maladie, Andy Vajna est décédé dans sa demeure à Budapest", a indiqué le Fond national des films.
Né dans la capitale hongroise, Andrew G. Vajna de son vrai nom, a fui avec sa famille en 1956 après l'insurrection contre le régime communiste, écrasée par les Soviétiques.
Après un passage à Hong-Kong et au Canada, ils se rendent aux Etats-Unis. Andy Vajna se lance alors dans le monde du cinéma. En tant que producteur, il enchaîne les réussites commerciales.
Revenu en Hongrie dans les années 2000, il devient un allié proche du président Viktor Orbán.
En 2011, il avait été nommé commissaire d'État au cinéma. Pour beaucoup, il a contribué à accroitre le rayonnement cinématographique de la Hongrie ces dernières années.
A la tête du Fonds national du film, il a notamment cofinancé Le fils de Saul, qui a remporté le Grand Prix du festival de Cannes en 2015 et l'Oscar du meilleur film étranger en 2016." Source et vidéos sur euronews.com

Décès du producteur de Rambo, l'Américano-Hongrois Andy Vajna

"Le producteur américano-hongrois Andrew G. Vajna, connu sous le nom d'Andy Vajna pour ses blockbusters des années 80 comme Rambo, Die Hard ou Terminator, est décédé à 74 ans à son domicile à Budapest, a annoncé dimanche le Fond national des films (NFA)."Après une longue maladie, Andy Vajna est décédé dans sa demeure à..." La suite sur la-croix.com (article payant)

Andy Vajna est décédé dans sa 75ème année après une longue maladie

Andy Vajna, producteur de cinéma, figure importante du cinéma international et hongrois, est décédé dans sa 75ème année après une longue maladie dans son appartement de Budapest.

"Hosszú betegség után, életének 75. évében meghalt Andy Vajna.
Életének 75. évében hosszú betegség után budapesti otthonában elhunyt Andy Vajna, a magyar és a nemzetközi filmipar meghatározó alakja, filmproducer, nemzeti filmipar fejlesztéséért felelős kormánybiztos - közölte a Magyar Nemzeti Filmalap vasárnap az MTI-vel."
Source : hvg.hu

Les Hongrois poursuivent leur mouvement contre la nouvelle loi travail

"En Hongrie, plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi dans tout le pays. Une journée organisée à l’appel des syndicats et à laquelle ont participé l’opposition et des associations. Depuis décembre, les Hongrois descendent régulièrement dans la rue pour protester contre une nouvelle loi travail votée en décembre dernier par la droite nationaliste du Premier ministre Viktor Orban. Le texte autorise un employeur à demander jusqu’à 400 heures supplémentaires par an à ses employés, tout en les payant 3 ans plus tard. A Budapest, la mobilisation était en léger recul par rapport au mois de décembre. Mais les Hongrois semblent déterminés à poursuivre le mouvement.
Le froid glacial n’a pas empêché les Hongrois de descendre dans la rue. Ils étaient 2 000 à Miskolc, grande ville du nord, 1 500 à Pécs, ville universitaire dans le sud du pays. Ailleurs, ils ont protesté par centaines contre la loi travail et contre le régime autoritaire de Viktor Orban. Et des dizaines d’automobilistes ont exprimé leur colère en ralentissant la circulation." La suite sur rfi.fr

Étude sur l'impact économique des migrants en Europe : "Les flux migratoires sont une opportunité et non une charge"

"Pour Ekrame Boubtane, la co-auteure de l'étude sur l’impact positif de la migration sur l’économie européenne, "les flux migratoires ont contribué à améliorer le niveau de vie moyen".
Selon une étude du CNRS, les migrants ne sont pas une charge économique pour l’Europe. L’augmentation du flux de migrants permanent produit même des effets positifs. C'est ce que démontre Ekrame Boubtane, économiste, maître de conférence à l’Université Clermont Auvergne, co-auteure de l'étude sur l’impact positif de la migration sur l’économie européenne.
Cette étude intervient alors que la Hongrie, dirigée par Viktor Orban, met en place une nouvelle loi travail qui autorise les employeurs à demander à leurs salariés 400 heures supplémentaires par an, payées trois ans plus tard. Cette disposition, adoptée dans un contexte de manque de main d'oeuvre, est dénoncée par ses opposants comme un "droit à l'esclavage" dans un pays aux salaires parmi les plus bas de l'UE
500 000 Hongrois sont partis travailler à l'Ouest ces dernières années, là où les salaires sont deux à trois fois plus élevés. La nouvelle loi travail portée par le gouvernement hongrois est-elle une solution au manque de main d'oeuvre dans le pays selon vous ?"
La suite sur francetvinfo.fr

"Football Leaks": le hacker portugais arrêté en Hongrie assigné à résidence

"Un tribunal de Budapest a décidé de la remise en liberté de Rui Pinto, 30 ans, et de son assignation à résidence dans la capitale hongroise, où il réside, a déclaré Me David Deak, son avocat en Hongrie. « Selon le jugement, il ne pourra quitter son domicile et devra porter un bracelet électronique », a précisé Me Deak.
Le parquet hongrois, qui avait requis le placement en détention, a fait appel de cette décision, tout comme M. Pinto, qui a demandé un contrôle judiciaire plus souple.
« Extorsion aggravée et crimes liés au vol de données »
Présenté par sa défense comme un des lanceurs d’alerte à l’origine des « Football Leaks », une importante fuite d’informations sur les coulisses du football ayant conduit à une série de révélations depuis fin 2016, Rui Pinto avait été arrêté mercredi soir en vertu d’un mandat d’arrêt européen émis par les autorités portugaises." La suite sur actudaily.com

Hongrie: Andras Kadar, ou la lutte pour défendre l’Etat de droit

"En Hongrie, les manifestations se poursuivent contre la loi travail qui a été adoptée en décembre 2018, une loi qui porte à 400 le nombre des heures supplémentaires que les employeurs pourront demander à leurs salariés tous les ans, payables trois ans plus tard. Mais à ces contestations se mêlent des critiques directes contre les dérives autocratiques du président Viktor Orban. Andras Kadar est avocat, il observe et subit au quotidien les attaques contre les organisations de droits de l’homme, une situation qui se dégrade depuis plusieurs années.
Andras Kadar codirige le Comité Helsinki Hongrois qui exerce une veille sur la situation des droits de l’Homme. Il se concentre sur l’accès à la justice pour les minorités, le droit d’asile, les lieux de privation de liberté, ou encore l’utilisation excessive de la force. Andras Kadar constate que la situation se dégrade particulièrement depuis deux ans" La suite sur rfi.fr

Hongrie : nouveau samedi de contestation contre le gouvernement Orbán

"La loi sur les heures supplémentaire et la réforme du système judiciaire ont déclenché un cycle de manifestations en Hongrie. Ce samedi, l'opposition a appelé à descendre dans la rue tandis que les syndicats menacent d'une grève générale.
La protestation ne faiblit pas en Hongrie. Depuis le 8 décembre, le pays fait face à des manifestations d'une ampleur inédite. En cause, une loi sur les heures supplémentaires qui libère les heures supplémentaires imposables aux employés. Ses détracteurs la qualifie «d'esclavagiste». Des milliers de manifestants s'étaient déjà rassemblés le mois dernier à l'appel de l'opposition. Ce samedi, partis politiques, syndicats, associations, tous se sont une nouvelle fois entendus pour s'opposer au gouvernement." La suite sur lefigaro.fr

Nouvelle manifestation contre Orban et la réforme du travail à Budapest


"BUDAPEST, 19 janvier (Reuters) - Plusieurs milliers de Hongrois ont à nouveau manifesté samedi à Budapest contre la réglementation des heures supplémentaires adoptée le mois dernier et la politique du Premier ministre Viktor Orban.
Les manifestants, rassemblés derrière une banderole clamant "On en a assez !", ont défilé jusqu'au pied du château médiéval de Buda, devenu le foyer de la contestation.
La réforme du code du travail adoptée en décembre à l'initiative du Fidesz, le parti au pouvoir, autorise les employeurs à exiger jusqu'à 400 heures supplémentaires par an à leurs salariés." La suite sur zonebourse.com

samedi 19 janvier 2019

Hongrie : "Un mouvement social d'une ampleur inédite" contre la politique de Viktor Orban

"Depuis un mois, habitants, partis politiques et syndicats hongrois s'unissent et manifestent contre le président au pouvoir depuis 2010.
"Saleté de Fidesz", "Orban dégage""Nous ne sommes pas des esclaves"... Voici quelques-uns des slogans scandés dans les rues de Budapest contre la politique autoritaire et ultra-nationaliste de Viktor Orban. Le président hongrois, au pouvoir depuis 2010, est confronté depuis un mois à une fronde sociale inédite.
À l'origine de ces manifestations de grande ampleur, l'adoption d'une loi permettant à un employeur de réclamer jusqu'à 400 heures supplémentaires par an à ses salariés, payables jusque trois ans après. Les syndicats dénoncent une "loi esclavagiste" et, depuis cinq semaines, mêlent leurs voix à celles des défenseurs des droits de l'homme et des opposants politiques. "La défense des droits sociaux précède celle des droits civiques, explique l’économiste Zoltan Pogatch. Ce mouvement social est d’une ampleur inédite en Hongrie. Ce mouvement sonne le réveil des syndicats." La suite sur francetvinfo.fr

Hongrie, Serbie, Pologne: des étincelles à l'Est

"Après la chute du mur de Berlin en 1989, les pays d'Europe de l'Est représentaient une promesse de renouveau. Ils sont devenus pour certains des figures revendiquées de la contestation des démocraties libérales en conflit avec l’Union européenne. Cette dernière a d'ailleurs déclenché contre la Hongrie et la Pologne une procédure de sanctions au titre de l’article 7 du traité de l'Union européenne (violations de l’état de droit). Pourtant ces pays sont loin de poursuivre une marche sans accroc vers un autoritarisme chaque jour renforcé.
En Hongrie, dans le froid glacial et la neige, ils seront des dizaines de milliers à battre le pavé ce week-end du 19 janvier. Cette contestation des citoyens peut à première vue surprendre, quelques mois après les élections d’avril largement remportées par Viktor Orban. L’OSCE a toutefois jugé sévèrement le déroulement de la campagne en jugeant notamment que «la rhétorique d'intimidation et de xénophobie, les penchants des médias et le financement opaque» ont entravé les débats politiques." La suite sur rfi.fr

Hongrie. Orbán face à la colère des « cols bleus »

"La nouvelle loi travail contestée du gouvernement Orbán est accusée d’avoir été pensée pour la prospère industrie automobile allemande portée par Audi et Mercedes en terre magyare. Les « cols bleus » de la classe ouvrière sont remontés. Des manifestations sont programmées, ce samedi, partout dans le pays.
Reportage. De notre correspondant à Budapest. Emmitouflé dans son sweat à capuche, Bence (*) attend le bus de ville pour regagner sa chambre du foyer de jeunes travailleurs de Győr. Il est entré chez Audi début janvier comme opérateur à cause de la réputation de la marque allemande et des salaires vraiment satisfaisants dont des amis lui ont parlé. Sur le papier, l’offre était alléchante : semaine de 40 heures, week-ends garantis, 900 euros net par mois. Le triple du Smic hongrois et une fois et demie la rémunération moyenne, cotisations sociales déduites. Seulement voilà, le jeune homme en période d’essai et aux trois-huit pointe régulièrement les samedi ou dimanche afin de tenir" La suite sur letelegramme.fr (article payant)

Bonne nouvelle - Hongrie : Ahmed H., condamné à tort pour terrorisme, enfin libre

"En 2015, le Syrien Ahmed H. était incarcéré à tort pour « complicité d’acte terroriste » lors d’affrontements avec des gardes-frontières à la frontière serbo-hongroise. Après trois ans et demi derrière les barreaux, il va enfin pouvoir retrouver son épouse et ses deux filles à leur domicile à Chypre.
Condamné initialement à une peine de 10 ans de prison, ensuite réduite à 7 puis à 5 ans, Ahmed sera libéré le 19 janvier.
Sa libération est un immense soulagement pour sa famille, même s’il n’aurait jamais dû être poursuivi, et encore moins condamné, pour une telle infraction." La suite sur amnesty.fr

Incendie du centre culturel hongrois en Ukraine : un assistant de l’AfD suspecté

"Un des prévenus polonais de l'affaire de l'attentat contre le centre culturel hongrois d'Oujgorod a accusé au cours de son procès un proche collaborateur du parti d'extrême-droite allemand AfD, d'avoir commandité l'attaque.
Un proche collaborateur du député allemand Markus Frohnmaier (AfD, extrême-droite) est accusé d'avoir commandité l'incendie du centre culturel hongrois d'Oujgorod survenu le 27 février 2018 dans le sud-ouest de l'Ukraine. Manuel Ochsenreiter a été nommément mis en cause par l'un des prévenus, Michał P., un militant pro-russe polonais membre de l'organisation néo-fasciste Falanga dont le procès est en train de se dérouler à Cracovie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Coup de semonce des salariés d’Audi en Hongrie

"Les salariés de l'usine Audi Hungaria Zrt., à Győr, ont cessé le travail durant deux heures ce vendredi matin. Ils sont en conflit avec leur direction en raison d'une augmentation des salaires trop faible à leur goût.
Ce vendredi matin à 9 heures du matin, le syndicat indépendant Audi Hungária (AHFSZ) a organisé une « grève d'avertissement » de deux heures à l'usine de Győr, dans l'ouest de la Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

vendredi 18 janvier 2019

Handball - Un agent visé par une enquête de la fédération

"L’agent de joueur Matyas Farkas de l’agence Champsport est visé par une enquête de la fédération hongroise pour des pratiques jugées douteuses. 
Scandale en Hongrie. L’agent de joueur Matyas Farkas, qui gère notamment les intérêts de Cristina Neagu et de plusieurs internationales françaises, est visé par une enquête de la fédération hongroise pour des pratiques douteuses. En cause, une offre qu’il aurait inventée de toute pièce, afin de permettre à une de ses joueuses, évoluant sous les couleurs du FTC, de bénéficier d’une augmentation substantielle de salaire au moment de sa prolongation de contrat. Sauf que le stratagème a été dévoilé, par la joueuse elle-même. Et que le club de Siofok, auteur de la prétendue contre-offre, n’a pas du tout apprécié. La fédération hongroise a immédiatement lancé une enquête." La suite sur handnews.fr

Les eurodéputés pour un lien entre fonds européens et Etat de droit

"Les députés européens ont approuvé jeudi la possibilité que des Etats de l'Union européenne menaçant l'Etat de droit puissent perdre des fonds européens.
A 397 voix pour (158 voix contre), le Parlement européen, réuni à Strasbourg, s'est prononcé en faveur d'un règlement affirmant que "les gouvernements qui entravent la justice ou qui ne luttent pas contre la fraude et la corruption risquent la suspension des fonds de l'UE".
Le règlement adopté constitue la position du Parlement européen. Il doit désormais entrer en négociations avec le Conseil de l'UE (les Etats membres), qui n'a pas encore défini sa position. Le fruit de ces négociations devra ensuite être voté avant de pouvoir entrer en vigueur." La suite sur boursorama.fr