"L’un des écrivains contemporains hongrois les plus reconnus au niveau international, Péter Esterházy, est accusé de “s’être paré des plumes du paon” dans son œuvre la plus célebre, Harmonia Caelestis.
Un écrivain allemand, Sigfrid Gauch, accuse Péter Esterházy d’avoir repris sans sa permission des chapitres entiers de son roman Vaterspuren dans le roman le plus célèbre de l’écrivain hongrois sur l’histoire de sa famille, Harmonia Caelestis, publié en 2000. Outre Gauch, Esterházy a également utilisé des textes de plusieurs auteurs américains, allemands et hongrois. Ces accusations, formulées pour la première fois il y a 9 ans, ont été reprises par Gauch à l’occasion d’un débat sur un récent scandale de plagiat dont la jeune écrivaine de 17 ans, Helene Hegemann, en lice pour le prix littéraire de Lepizig cette année pour son nouveau livre Axolotl Roadkill, était l’auteure." La suite de l'article sur le Journal francophone de Budapestmardi 20 avril 2010
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