A Budapest, où le gouvernement socialiste n'est plus au pouvoir que pour quelques jours, le MSZP prétend malgré tout incarner une tradition de gauche et être un rempart contre les tentations autoritaires à la veille d'élections législatives qui devraient donner à la droite une majorité historique.
Mais on entre ici dans un autre pays. Celui qui n'a pas gagné au change quand s'est effondré le système communiste. Qui est frustré de voir passer les poids lourds modernes immatriculés en Slovaquie ou en Roumanie, ces voisins qu'il regardait jadis de haut. Celui qui craint le présent autant que l'avenir. Et pour qui la menace la plus visible a désormais le teint mat, le cheveu noir, l'allure souvent misérable des Roms, les Tziganes sédentarisés depuis cinq siècles." La suite de l'article sur lemonde.fr
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