Orbán retire-t-il le siège sur lequel sont assis ses critiques les plus bruyants ?
Le gouvernement peut exécuter les syndicats avec son nouveau Code du travail: le projet retire pratiquement tous les droits qui permettaient leur fonctionnement et la défense des intérêts de leurs membres. A leur place, ce sont les conseils d'entreprise qui représenteront les travailleurs; l'avantage, du point de vue du gouvernement, c'est que, de par leur nature, ils sont morcelés et avec une obligation de neutralité. Ils n'ont, par exemple, même pas le droit de grève. Comme l'écrit si bien le gouvernement : ce sont les outils d'une collaboration de "complète confiance".
"Kihúzza a széket Orbán leghangosabb kritikusai alól?
Kivégezheti a kormány a szakszervezeteket az új Munka törvénykönyvével: a tervezet gyakorlatilag az összes olyan jogosítványukat elveszi, amelyek működésüket és tagjaik érdekképviseletét lehetővé tették. Helyettük az üzemi tanácsok képviselik majd a dolgozókat; ezek előnye kormány szempontjából, hogy természetüknél fogva széttagoltak és kötelezően semlegesek, nincs például sztrájkjoguk sem. Ahogy a kormány fogalmaz: a "bizalomteljes együttműködés" eszközei." La suite en langue hongroise sur hvg.hu
mercredi 27 juillet 2011
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