"Qualifier un vin de «merde» dans les colonnes d'un journal relève de la liberté d'expression et non des tribunaux, a estimé ce mardi la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH).
Les juges de Strasbourg ont ainsi rendu justice à Péter Uj, un journaliste hongrois condamné par un tribunal de Budapest pour avoir dénoncé, en ces termes crus, la production d'une entreprise viti-vinicole d'Etat." La suite sur 20minutes.fr
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