"Euroscepticisme, anticapitalisme, anti-égalitarisme, chauvinisme, le Premier ministre hongrois, ex-centriste, a fait de ces thèmes radicaux ses chevaux de bataille. De quoi vider l’extrême droite de sa substance en vue des législatives d’avril 2014. Et le siphonnage semble faire ses preuves. Mais à quel prix...
Budapest, 1987. Viktor Orbán, 24 ans, vient d’obtenir sa licence de
droit. Brillant et persuasif, le jeune avocat séduit ses camarades et
ses enseignants. L’année suivante, il fonde l’Union civique hongroise
(Fidesz) et prononce des discours enflammés contre l’URSS qui feront de
lui une icône. 1990: le Mur tombe et Orbán entre au Parlement lors des
premières élections libres depuis l’instauration du communisme, au
lendemain de la Seconde Guerre mondiale." La suite sur slate.fr
mardi 3 décembre 2013
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