Par Pierre Waline
"Question: qu’y a-t’il de commun entre le compositeur hongrois Ferenc
Erkel et Giuseppe Verdi ? Quasiment contemporains, ils composèrent tous
deux des opéras (bof...rien d’original) et furent profondément attachés à
leur patrie et épris de liberté (même remarque)...
Tout cela pour en venir à dire que Verdi est actuellement à l’honneur
au théâtre Erkel de Budapest, avec non moins de six opéras en un mois.
Dont une „Trilogie” des opéras du maître italien inspirés de Schiller : Jeanne d’Arc, I Masnadieri (Les Brigands) et Luisa Miller (Intrigue et amour),
donnés d’affilée trois soirs de suite. Déjà en soi, l’idée, courageuse,
est à saluer, car voilà des opéras rarement joués et réputés peu „sexy”
auprès du grand public. Autre bon point: ces oeuvres furent données,
non par l’orchestre, choeur et troupe de Budapest, mais par ceux de
l’opéra de Kolozsvár (Cluj), venus de Transylvanie." La suite sur francianyelv.hu
lundi 2 décembre 2013
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.