"La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) condamne la Hongrie pour avoir limogé en 2012 le président de la Cour suprême, Andras Baka.
La CEDH juge qu'il y a eu « violation de la liberté d'expression », Andras Baka ayant été « révoqué parce que, alors qu'il était président de la Cour suprême, il avait publiquement critiqué la politique gouvernementale en matière de réforme judiciaire ».
Elle estime que la Hongrie a violé le droit d'accès à un tribunal, car il avait été impossible à Andras Baka d'en saisir un pour contester la cessation prématurée de ses fonctions. Cette dernière était prévue par une loi adoptée par le Parlement hongrois -- où le parti Fidesz du Premier ministre Viktor Orban dispose d'une écrasante majorité -- et « échappait dès lors à toute forme de contrôle par le juge », a relevé la Cour de Strasbourg." La suite sur ouest-france.fr
mercredi 28 mai 2014
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