"Le virtuose du cinéma hongrois nous offre un drôle de conte, qu’on trouve abscons jusqu’aux deux tiers. Jusqu’à ce que…
Le début de White God est tout simplement sublime. Un père (le magnifique Sandor Zsoter),
également contrôleur des viandes dans les boucheries, récupère sa
fille, très jeune, pour quelques temps. Celle-ci a, pour l’accompagner,
un chien nommé Hagen. Dans leur immeuble, une voisine âgée et
désagréable (l’excellente Lili Monori)
leur précise qu’ils doivent payer une taxe avec un tel chien. C’est un
bâtard… en Hongrie, ça n’est plus accepté… Ironie, absurde, et
stylisation discrète du quotidien. On en redemande." La suite sur toutelaculture.com
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.