"Le pianiste hongrois joue ce soir son répertoire fétiche au Verbier
Festival. Né en 1953, il est l’un des orfèvres du clavier, versé dans
Bach et le classicisme.
C’est un homme délicieux. Il parle d’une voix douce, ce qui ne l’empêche
pas de se positionner avec fermeté. András Schiff n’a plus mis les
pieds en Hongrie depuis plusieurs années et ne veut plus y jouer, tant
que le premier ministre conservateur, Viktor Orban, sera au pouvoir. «Je
ne peux pas approuver la situation politique actuelle en Hongrie.
Certes, ce n’est pas une dictature. Il y a la liberté de mouvement et,
rien que dans le secteur littéraire, l’activité est florissante avec
d’excellents écrivains. Mais les médias, TV et radio, sont sous
contrôle. Ça me préoccupe beaucoup.»" La suite sur letemps.ch
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.