"Une femme couchée sur des rails face aux policiers, cramponnée à son enfant : en Hongrie, des migrants ont refusé jeudi de quitter un train qui devait les conduire à la frontière autrichienne, dénonçant un «piège» des autorités qui souhaitent les transférer dans un camp de réfugiés.
«Tuez-moi, tuez-moi, je préfère mourir que d'aller dans un camp!», a
lancé un Irakien à la police, face aux caméras, devant le train arrêté
dans la petite gare de Bicske, à une quarantaine de kilomètres de
Budapest, la capitale hongroise." La suite sur lapresse.ca
vendredi 4 septembre 2015
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