"Mardi, le pays d’Europe centrale passera en «état de crise pour cause de migration de masse». Sur place, les diatribes antimigrants du Premier ministre populiste Viktor Orbán confortent une population déjà repliée sur elle-même.
C’est une nation sur le pied de guerre. Ce week-end, 4 300 soldats
hongrois épaulés par 350 détenus en uniforme gris travaillaient
d’arrache-pied pour que la clôture antimigrants soit achevée lundi
matin, comme l’a ordonné le Premier ministre conservateur et
nationaliste, Viktor Orbán. Une double barrière courant sur les 175 km
de la frontière serbo-hongroise, faite de rouleaux de métal sertis de
lames de rasoir et d’un grillage de 3, 5 mètres de haut, lui-même
hérissé de barbelés." La suite sur liberation.fr
lundi 14 septembre 2015
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